Capture d’écran X
Michel Barnier s’est dit prêt à ouvrir son gouvernement aux “gens de gauche” au journal de 20h de TF1.
POLITIQUE – Premier passage obligé. Invité du journal de 20 heures sur TF1, le nouveau locataire de Matignon Michel Barnier a profité d’une question d’Anne-Claire Coudray sur la composition de son futur gouvernement pour faire preuve d’un minimum d’ouverture ce vendredi 6 septembre, tout en refusant de « se prononcer sur la composition de son futur gouvernement ». faire un casting » sur le plateau de TF1.
24 heures après sa nomination à Matignon, Michel Barnier a reconnu que « Ce ne sera pas seulement un gouvernement de droite » et a déclaré qu’il était ouvert à l’idée d’accueillir ” les gens de gauche « parmi ses futurs ministres. » Je ne m’interdis pas de réunir autour d’une même table des hommes et des femmes qui ont des compétences. Oui, des gens de gauche aussi. Le sectarisme est un signe de faiblesse.a-t-il expliqué dans cette première interview depuis sa nomination.
« Je viens du gaullisme social, je suis républicain, je suis européen aussi (…) Il y aura des gens de ma famille politique »“C’est une certitude, a assuré l’ancien ministre de Nicolas Sarkozy et Jacques Chirac, aujourd’hui membre des Républicains. Il a aussi confirmé, à demi-mot, qu’il n’excluait pas d’accueillir des ministres sortants : peut-être, peut-être “, a-t-il dit, considérant qu’il y a “ de bonnes idées partout “.
Représentation proportionnelle ? Je ne m’interdis pas de le faire. »
Interrogé sur un éventuel accord avec le Rassemblement national de Marine Le Pen pour accéder à Matignon, Michel Barnier a réfuté cette idée, tout en assurant qu’il la rencontrerait. Je la verrai”a confirmé le Premier ministre, qui a néanmoins pris ses distances avec le leader d’extrême droite, estimant qu’il n’avait pas « Rien à voir avec les idéologies du Rassemblement national, que je respecte. »
Le successeur de Gabriel Attal a également laissé la porte ouverte à un éventuel projet
Institutionnel, avec la réforme du mode de scrutin pour les élections législatives. « Si la représentation proportionnelle est une solution, je ne l’exclus pas. “, a confirmé Michel Barnier sur TF1. Un ” solution “, qu’il a néanmoins nuancé en expliquant qu’il avait d’abord ” il faut en discuter avec tous les groupes politiques “, dont un certain nombre le réclament.
Sur la question de la réforme des retraites, remise en cause par une grande partie de l’Assemblée nationale, Michel Barnier a une nouvelle fois fait preuve d’ouverture en indiquant qu’il souhaitait « de porter le débat sur l’amélioration de cette loi, avec les partenaires sociaux”, surtout pour les personnes les plus fragiles, tout en confirmant que cela n’allait pas « tout remettre en question ».
En conclusion, le nouveau chef du gouvernement a assuré que « le gouvernement gouvernera »refusant le terme “cohabitation” comme cela a déjà été le cas dans la vie politique française. L’occasion de s’assurer qu’il gouvernera « en bons termes avec le président ».
Voir aussi sur Le HuffPost :
Capture d’écran X
Michel Barnier s’est dit prêt à ouvrir son gouvernement aux “gens de gauche” au journal de 20h de TF1.
POLITIQUE – Premier passage obligé. Invité du journal de 20 heures sur TF1, le nouveau locataire de Matignon Michel Barnier a profité d’une question d’Anne-Claire Coudray sur la composition de son futur gouvernement pour faire preuve d’un minimum d’ouverture ce vendredi 6 septembre, tout en refusant de « se prononcer sur la composition de son futur gouvernement ». faire un casting » sur le plateau de TF1.
24 heures après sa nomination à Matignon, Michel Barnier a reconnu que « Ce ne sera pas seulement un gouvernement de droite » et a déclaré qu’il était ouvert à l’idée d’accueillir ” les gens de gauche « parmi ses futurs ministres. » Je ne m’interdis pas de réunir autour d’une même table des hommes et des femmes qui ont des compétences. Oui, des gens de gauche aussi. Le sectarisme est un signe de faiblesse.a-t-il expliqué dans cette première interview depuis sa nomination.
« Je viens du gaullisme social, je suis républicain, je suis européen aussi (…) Il y aura des gens de ma famille politique »“C’est une certitude, a assuré l’ancien ministre de Nicolas Sarkozy et Jacques Chirac, aujourd’hui membre des Républicains. Il a aussi confirmé, à demi-mot, qu’il n’excluait pas d’accueillir des ministres sortants : peut-être, peut-être “, a-t-il dit, considérant qu’il y a “ de bonnes idées partout “.
Représentation proportionnelle ? Je ne m’interdis pas de le faire. »
Interrogé sur un éventuel accord avec le Rassemblement national de Marine Le Pen pour accéder à Matignon, Michel Barnier a réfuté cette idée, tout en assurant qu’il la rencontrerait. Je la verrai”a confirmé le Premier ministre, qui a néanmoins pris ses distances avec le leader d’extrême droite, estimant qu’il n’avait pas « Rien à voir avec les idéologies du Rassemblement national, que je respecte. »
Le successeur de Gabriel Attal a également laissé la porte ouverte à un éventuel projet
Institutionnel, avec la réforme du mode de scrutin pour les élections législatives. « Si la représentation proportionnelle est une solution, je ne l’exclus pas. “, a confirmé Michel Barnier sur TF1. Un ” solution “, qu’il a néanmoins nuancé en expliquant qu’il avait d’abord ” il faut en discuter avec tous les groupes politiques “, dont un certain nombre le réclament.
Sur la question de la réforme des retraites, remise en cause par une grande partie de l’Assemblée nationale, Michel Barnier a une nouvelle fois fait preuve d’ouverture en indiquant qu’il souhaitait « de porter le débat sur l’amélioration de cette loi, avec les partenaires sociaux”, surtout pour les personnes les plus fragiles, tout en confirmant que cela n’allait pas « tout remettre en question ».
En conclusion, le nouveau chef du gouvernement a assuré que « le gouvernement gouvernera »refusant le terme “cohabitation” comme cela a déjà été le cas dans la vie politique française. L’occasion de s’assurer qu’il gouvernera « en bons termes avec le président ».
Voir aussi sur Le HuffPost :