Lancé en 1943, Le National a longtemps été le quotidien le plus lu, le plus reconnu et le plus indépendant du Venezuela. Mais sous le régime autoritaire d’Hugo Chávez puis de Nicolás Maduro, il a été l’un des principaux médias du pays visé par la répression judiciaire. Fin 2018, il a été contraint de cesser sa publication papier, et poursuit son activité uniquement sur le web, avec des serveurs à l’étranger. « Aucune frontière, aucune censure ne nous arrêtera » Il écrivait alors. Son réalisateur, Miguel Henrique Otero, vit en exil en Espagne.
Lancé en 1943, Le National a longtemps été le quotidien le plus lu, le plus reconnu et le plus indépendant du Venezuela. Mais sous le régime autoritaire d’Hugo Chávez puis de Nicolás Maduro, il a été l’un des principaux médias du pays visé par la répression judiciaire. Fin 2018, il a été contraint de cesser sa publication papier, et poursuit son activité uniquement sur le web, avec des serveurs à l’étranger. « Aucune frontière, aucune censure ne nous arrêtera » Il écrivait alors. Son réalisateur, Miguel Henrique Otero, vit en exil en Espagne.