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Durée de la vidéo : 4 minutes
L’institution catholique Notre-Dame de Bétharram, dans les Pyrénées-Atlantiques, est désormais visée par 76 plaintes. Tandis que les langues se délient, plus de 20 personnes sont accusées d’abus physiques ou sexuels.
Les anciens étudiants portent la mémoire de l’institution catholique comme un fardeau Notre-Dame de Bétharram (Pyrénées-Atlantiques), pourtant réputée pour son prestige. “Notre enfance nous a été volée”, témoigne un ancien pensionnaire, anonymement. Les violences, viols et agressions sexuelles présumés survenus entre les années 1970 et 1990 sont discutés. L’école dévoile peu à peu ses plus sombres secrets.
Le silence est brisé
Un homme témoigne près de 40 ans plus tard. Il décrit d’abord une atmosphère de terreur. Cette brutalité fait selon lui partie d’un mécanisme bien rodé qui a conduit à l’indicible. “Ils t’ont blessé, mais après ils t’ont réconforté”, confie-t-il. Comme lui, d’autres ont choisi de briser le silence. Parmi eux, Alain Esquerre. Il a passé six années de sa scolarité à Bétharram et affirme également avoir subi des violences. Alain Esquerre a commencé à recueillir les témoignages il y a cinq mois. 76 plaintes ont été déposées.
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L’institution catholique Notre-Dame de Bétharram, dans les Pyrénées-Atlantiques, est désormais visée par 76 plaintes. Tandis que les langues se délient, plus de 20 personnes sont accusées d’abus physiques ou sexuels.
Les anciens étudiants portent la mémoire de l’institution catholique comme un fardeau Notre-Dame de Bétharram (Pyrénées-Atlantiques), pourtant réputée pour son prestige. “Notre enfance nous a été volée”, témoigne un ancien pensionnaire, anonymement. Les violences, viols et agressions sexuelles présumés survenus entre les années 1970 et 1990 sont discutés. L’école dévoile peu à peu ses plus sombres secrets.
Le silence est brisé
Un homme témoigne près de 40 ans plus tard. Il décrit d’abord une atmosphère de terreur. Cette brutalité fait selon lui partie d’un mécanisme bien rodé qui a conduit à l’indicible. “Ils t’ont blessé, mais après ils t’ont réconforté”, confie-t-il. Comme lui, d’autres ont choisi de briser le silence. Parmi eux, Alain Esquerre. Il a passé six années de sa scolarité à Bétharram et affirme également avoir subi des violences. Alain Esquerre a commencé à recueillir les témoignages il y a cinq mois. 76 plaintes ont été déposées.