Près de 8 000 personnes ont défilé samedi à Châteauroux, dans l’Indre, pour rendre hommage à Matisse, 15 ans, tué de plusieurs coups de couteau.
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Temps de lecture : 1 min
« Nous avons fait l’expérience de l’unité d’une ville et de la solidarité de tout un département » témoigne Gil Avérous, le maire de Châteauroux (Indre) sur franceinfo samedi 4 mai, après la marche blanche en hommage à Matisse, un adolescent de 15 ans tué de plusieurs coups de couteau par un jeune du même âge, le 27 avril. Parmi les 8 000 personnes qui composaient le cortège silencieux, beaucoup venaient de différentes communes de l’Indre. Le maire parle d’un moment « très fort, très émouvant et contemplatif ».
Il y aura “un avant et un après” ce drame, pour Gil Avérous. “On a toujours l’impression que ça se passe ailleurs, qu’une ville moyenne comme Châteauroux est à l’abri d’un événement comme celui-là, ça nous ramène à la dure réalité”déplore le maire. Lors de la marche blanche, plusieurs citoyens ont exprimé leur peur et leur sentiment d’insécurité. L’élu explique qu’il est au courant “le besoin de discuter, de se rencontrer”, pour parler de ce drame et de la violence. Il assure “faire tout son possible pour éviter que cela ne se reproduise”.
Les obsèques du jeune homme auront lieu mardi 7 mai, non pas dans une église, mais au stade Gaston-Petit, le stade de football de Châteauroux, en hommage à la passion de Matisse pour ce sport.
Près de 8 000 personnes ont défilé samedi à Châteauroux, dans l’Indre, pour rendre hommage à Matisse, 15 ans, tué de plusieurs coups de couteau.
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« Nous avons fait l’expérience de l’unité d’une ville et de la solidarité de tout un département » témoigne Gil Avérous, le maire de Châteauroux (Indre) sur franceinfo samedi 4 mai, après la marche blanche en hommage à Matisse, un adolescent de 15 ans tué de plusieurs coups de couteau par un jeune du même âge, le 27 avril. Parmi les 8 000 personnes qui composaient le cortège silencieux, beaucoup venaient de différentes communes de l’Indre. Le maire parle d’un moment « très fort, très émouvant et contemplatif ».
Il y aura “un avant et un après” ce drame, pour Gil Avérous. “On a toujours l’impression que ça se passe ailleurs, qu’une ville moyenne comme Châteauroux est à l’abri d’un événement comme celui-là, ça nous ramène à la dure réalité”déplore le maire. Lors de la marche blanche, plusieurs citoyens ont exprimé leur peur et leur sentiment d’insécurité. L’élu explique qu’il est au courant “le besoin de discuter, de se rencontrer”, pour parler de ce drame et de la violence. Il assure “faire tout son possible pour éviter que cela ne se reproduise”.
Les obsèques du jeune homme auront lieu mardi 7 mai, non pas dans une église, mais au stade Gaston-Petit, le stade de football de Châteauroux, en hommage à la passion de Matisse pour ce sport.