HUMEUR – Le PSG de Luis Enrique n’est pas (encore ?) fait pour les plus hauts sommets européens, c’est clair.
“C’est une semaine importante, un match important”» a clamé Luis Enrique avant d’affronter Arsenal mardi à l’Emirates Stadium. En effet, c’est la première fois cette saison que les Rouge et Bleu se retrouvent face à un adversaire de ce niveau, sans froisser les équipes qu’ils ont affrontées jusqu’ici. Un essai. Un vrai. Et on l’a vu : logiquement battu 2-0, le PSG « made in Luis Enrique » n’est pas encore prêt pour les plus hauts sommets européens.
Le choix de s’appuyer sur de petits gabarits techniques dans le milieu s’est payé très cher mardi, dans le nord-est de Londres. L’absence d’un numéro 9 digne de ce nom ? On n’a pas vraiment envie de tirer sur le pauvre Kang-in Lee, ses coéquipiers l’ont constamment servi dos au but adverse, comme s’il pesait 30 kilos et 30 centimètres de plus. De plus, on ne peut pas dire que Kai Havertz soit un authentique avant-centre…
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