Publié
Durée de la vidéo : 2 minutes
Un épais nuage de poussière saharienne s’est produit mardi 23 avril à Athènes et dans d’autres régions de Grèce.
À première vue, la lumière ressemble à un coucher de soleil sur l’Acropole. Mais ce ciel orangé est un épais nuage de sable venu du Sahara. La ville entière d’Athènes et ses quatre millions d’habitants se retrouvent plongés dans un brouillard de poussière. Des vents puissants du sud traversaient la Méditerranée et transportaient des matières minérales du désert.
Troisième fois
Sur les réseaux sociaux, les vidéos se multiplient, mais les particules fines impactent la santé. Les autorités recommandent aux personnes vulnérables de rester abritées chez elles. C’est la troisième fois qu’un nuage de sable s’abat sur la Grèce depuis mars, mais celui-ci est le plus dense et le plus gros. Le Sahara rejette chaque année jusqu’à 200 millions de tonnes de poussières dans l’atmosphère.
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Un épais nuage de poussière saharienne s’est produit mardi 23 avril à Athènes et dans d’autres régions de Grèce.
À première vue, la lumière ressemble à un coucher de soleil sur l’Acropole. Mais ce ciel orangé est un épais nuage de sable venu du Sahara. La ville entière d’Athènes et ses quatre millions d’habitants se retrouvent plongés dans un brouillard de poussière. Des vents puissants du sud traversaient la Méditerranée et transportaient des matières minérales du désert.
Troisième fois
Sur les réseaux sociaux, les vidéos se multiplient, mais les particules fines impactent la santé. Les autorités recommandent aux personnes vulnérables de rester abritées chez elles. C’est la troisième fois qu’un nuage de sable s’abat sur la Grèce depuis mars, mais celui-ci est le plus dense et le plus gros. Le Sahara rejette chaque année jusqu’à 200 millions de tonnes de poussières dans l’atmosphère.