« C’est ici que la jeunesse se présente à l’avenir. C’est ici que le jeune travailleur, l’étudiant et l’écolier, l’homme de labeur ouvrent la voie et le rideau vers un horizon qui leur appartient, une société sans exploitation et sans guerre. » C’est ainsi que le journal communiste Pâtes de riz présente fièrement le Festival de la Jeunesse Communiste (KNE) et son journal Odigite, qui se déroule du 18 au 21 septembre et attire des dizaines de milliers de personnes dans les banlieues d’Athènes.
Cinquante ans après sa création, le Festival KNE-Odigitis suscite l’admiration de personnalités et de journaux d’orientations politiques diverses.
« Le Festival de la Jeunesse Communiste Grecque a un certain poids, reconnaît ainsi le journal centriste Votre Néa. Le 50e anniversaire du premier Festival coïncide avec le 50e anniversaire de la fin de la dictature, le 50e anniversaire de l’occupation de Chypre (par la Turquie) et le 50e anniversaire du retour de la démocratie. Dans ce cycle historique,
« C’est ici que la jeunesse se présente à l’avenir. C’est ici que le jeune travailleur, l’étudiant et l’écolier, l’homme de labeur ouvrent la voie et le rideau vers un horizon qui leur appartient, une société sans exploitation et sans guerre. » C’est ainsi que le journal communiste Pâtes de riz présente fièrement le Festival de la Jeunesse Communiste (KNE) et son journal Odigite, qui se déroule du 18 au 21 septembre et attire des dizaines de milliers de personnes dans les banlieues d’Athènes.
Cinquante ans après sa création, le Festival KNE-Odigitis suscite l’admiration de personnalités et de journaux d’orientations politiques diverses.
« Le Festival de la Jeunesse Communiste Grecque a un certain poids, reconnaît ainsi le journal centriste Votre Néa. Le 50e anniversaire du premier Festival coïncide avec le 50e anniversaire de la fin de la dictature, le 50e anniversaire de l’occupation de Chypre (par la Turquie) et le 50e anniversaire du retour de la démocratie. Dans ce cycle historique,