L’Union des lycées (USL) a appelé vendredi à “la mobilisation des lycéens” à partir de lundi dans tous les établissements en soutien à la population palestinienne.
Publié
Temps de lecture : 1 min
“On aura des blocages partout en France”a prévenu vendredi 3 mai sur franceinfo Gwenn Thomas-Alves, porte-parole du Syndicat des lycées (USL), alors que le syndicat appelait à « mobilisation des lycéens » à partir du lundi 6 mai dans tous les établissements de soutien à la population palestinienne.
USL “est en contact avec d’autres syndicats locaux qui font partie de la composante High School Union”précise Gwenn Thomas-Alves, qui se sent parmi les lycéens « une volonté de mobilisation » Parce qu’ils ont « le sentiment de rester les bras croisés face à ce qui se passe ».
“Une action symbolique qui est le blocus”
Le porte-parole de l’USL appelle à « convergence entre lycéens et étudiants ». Il précise que le syndicat « appelle au blocus lundi et mardi »mais la mobilisation «est destiné à continuer». Le syndicat des lycées espère “un effet boule de neige” avec des lycées bloqués “premier jour” et il y aura “beaucoup plus” Suivant.
Face à l’appel à la fermeté du gouvernement qui promet d’envoyer la police pour expulser les étudiants, Gwenn Thomas-Alves reconnaît qu’il y a “un risque dans les lycées où il n’y a pas de caméras, notamment en banlieue ou en zone rurale, qu’il y ait des scènes extrêmement choquantes”. Le syndicat va « tout faire pour pouvoir encadrer » les mobilisations. « Nous ne légitimons pas la violence. Nous voulons juste avoir une action symbolique qui est le blocus”ajoute le porte-parole de l’USL.
L’Union des lycées (USL) a appelé vendredi à “la mobilisation des lycéens” à partir de lundi dans tous les établissements en soutien à la population palestinienne.
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“On aura des blocages partout en France”a prévenu vendredi 3 mai sur franceinfo Gwenn Thomas-Alves, porte-parole du Syndicat des lycées (USL), alors que le syndicat appelait à « mobilisation des lycéens » à partir du lundi 6 mai dans tous les établissements de soutien à la population palestinienne.
USL “est en contact avec d’autres syndicats locaux qui font partie de la composante High School Union”précise Gwenn Thomas-Alves, qui se sent parmi les lycéens « une volonté de mobilisation » Parce qu’ils ont « le sentiment de rester les bras croisés face à ce qui se passe ».
“Une action symbolique qui est le blocus”
Le porte-parole de l’USL appelle à « convergence entre lycéens et étudiants ». Il précise que le syndicat « appelle au blocus lundi et mardi »mais la mobilisation «est destiné à continuer». Le syndicat des lycées espère “un effet boule de neige” avec des lycées bloqués “premier jour” et il y aura “beaucoup plus” Suivant.
Face à l’appel à la fermeté du gouvernement qui promet d’envoyer la police pour expulser les étudiants, Gwenn Thomas-Alves reconnaît qu’il y a “un risque dans les lycées où il n’y a pas de caméras, notamment en banlieue ou en zone rurale, qu’il y ait des scènes extrêmement choquantes”. Le syndicat va « tout faire pour pouvoir encadrer » les mobilisations. « Nous ne légitimons pas la violence. Nous voulons juste avoir une action symbolique qui est le blocus”ajoute le porte-parole de l’USL.