Tout le monde parle spontanément de la fameuse « résilience du peuple libanais » qui sort toujours des crises les plus graves. Mais depuis les offensives meurtrières israéliennes au Liban, c’est désormais en s’interrogeant sur la capacité du pays à se relever que les Franco-Libanais de la Loire, et ceux qui y ont des proches, parlent de ce que l’un d’eux appelle « une guerre sans morale ».
« Nuits blanches » et « anxiété »
« Nous connaissons la guerre. Mais il n’y a plus de limites. Serons-nous assez forts pour surmonter cela ? Des frappes sans limites, qui tuent des civils, déplacent des dizaines de milliers de personnes dans un pays qui est déjà le deuxième au monde en termes de réfugiés par habitant ? », demande Isabelle, dont la famille est installée dans une petite commune du Gier.
Au téléphone, cette conseillère en insertion sociale et professionnelle de la Mission locale de Lyon reste calme malgré les « angoisses incessantes » et les « nuits blanches » qui se succèdent….
Tout le monde parle spontanément de la fameuse « résilience du peuple libanais » qui sort toujours des crises les plus graves. Mais depuis les offensives meurtrières israéliennes au Liban, c’est désormais en s’interrogeant sur la capacité du pays à se relever que les Franco-Libanais de la Loire, et ceux qui y ont des proches, parlent de ce que l’un d’eux appelle « une guerre sans morale ».
« Nuits blanches » et « anxiété »
« Nous connaissons la guerre. Mais il n’y a plus de limites. Serons-nous assez forts pour surmonter cela ? Des frappes sans limites, qui tuent des civils, déplacent des dizaines de milliers de personnes dans un pays qui est déjà le deuxième au monde en termes de réfugiés par habitant ? », demande Isabelle, dont la famille est installée dans une petite commune du Gier.
Au téléphone, cette conseillère en insertion sociale et professionnelle de la Mission locale de Lyon reste calme malgré les « angoisses incessantes » et les « nuits blanches » qui se succèdent….