Il y a trente ans, des artisans, danseurs et musiciens ivoiriens travaillaient et vivaient au Safari africain de Port-Saint-Père, près de Nantes. Ils étaient isolés et exploités dans le « village de Bamboula », une sorte de zoo humain moderne qui a déclenché la mobilisation des associations locales. Le magazine « Bretons » revient sur cette histoire.