Publié
Durée de la vidéo : 10 min
Benjamin Morel, politologue et maître de conférences à l’université Paris II, est sur le plateau du 13/11 info, vendredi 26 avril. Il revient sur la mobilisation pro-palestinienne des étudiants de Sciences Po Paris.
Alors que les États-Unis voient fleurir de nombreuses manifestations pro-palestiniennes sur leurs campus, plusieurs universités françaises suivent désormais le mouvement. Ainsi, le La mobilisation pro-palestinienne des étudiants de Sciences Po Paris se poursuit, vendredi 26 avril. S’il ne croit pas qu’il existe “synchronisation au sens de mouvement organisé”Benjamin Morel, politologue et maître de conférences à l’université Paris II, estime qu’il existe une “un effet mimétique”et potentiel “sources d’inspiration”. « On peut avoir un effet d’émulation, mais il n’y a pas d’importation américaine »assure-t-il sur le plateau d’info du 13/11.
“Le risque est que ce label devienne problématique”
« L’une des forces de Science Po, au niveau national ou interne, c’est essentiellement la réputation. (…) Le risque est que ce label devienne problématique, voire répulsif pour certaines entreprises, certaines administrations publiques »prévient Benjamin Morel.
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Benjamin Morel, politologue et maître de conférences à l’université Paris II, est sur le plateau du 13/11 info, vendredi 26 avril. Il revient sur la mobilisation pro-palestinienne des étudiants de Sciences Po Paris.
Alors que les États-Unis voient fleurir de nombreuses manifestations pro-palestiniennes sur leurs campus, plusieurs universités françaises suivent désormais le mouvement. Ainsi, le La mobilisation pro-palestinienne des étudiants de Sciences Po Paris se poursuit, vendredi 26 avril. S’il ne croit pas qu’il existe “synchronisation au sens de mouvement organisé”Benjamin Morel, politologue et maître de conférences à l’université Paris II, estime qu’il existe une “un effet mimétique”et potentiel “sources d’inspiration”. « On peut avoir un effet d’émulation, mais il n’y a pas d’importation américaine »assure-t-il sur le plateau d’info du 13/11.
“Le risque est que ce label devienne problématique”
« L’une des forces de Science Po, au niveau national ou interne, c’est essentiellement la réputation. (…) Le risque est que ce label devienne problématique, voire répulsif pour certaines entreprises, certaines administrations publiques »prévient Benjamin Morel.