A partir du 1er mai, les entreprises touristiques pourront obtenir ce label si elles garantissent un « haut niveau de qualité d’accueil et de services » ainsi qu’un « haut niveau d’exigence en matière de développement durable ».
Publié
Temps de lecture : 1 min
“Oui, nous en avons besoin”, reconnaît Alain Fontaine, chef cuisinier, propriétaire du restaurant « Le Mesturet » à Paris et président de l’Association française des maîtres restaurateurs. Il était invité samedi 21 avril sur Franceinfo à réagir au nouveau label touristique « destination d’excellence ».
A partir du 1er mai, les entreprises touristiques pourront obtenir ce label si elles garantissent « haut niveau de qualité d’accueil et de services » et un « un haut niveau d’exigence en matière de développement durable et de protection de l’environnement », selon un décret publié samedi. Le système est géré par Atout France.
Pour Alain Fontaine, cela « label d’état » englobant « l’hôtellerie voire la restauration est importante pour que les touristes sachent que l’Etat s’intéresse à cette économie ». Alain Fontaine estime que“ce n’était pas normal que le label ‘Qualité tourisme’ (qui existe depuis 2005) n’intéresse que 5.000 professionnels du secteur, il fallait le dynamiser”.
De nouvelles attentes sur l’écologie
Il reconnaît que le label « Qualité tourisme » a été “un peu vieux” et “de nouvelles choses se sont produites” comme “la lutte contre le gaspillage, la recharge des voitures électriques dans les parkings de certains hôtels et de certains restaurants ou encore l’accessibilité qui n’était pas au centre du débat en 2005. Cela fait partie des services qu’il nous faut”.
Mais, selon le restaurateur, pour que ça marche, « l’Etat doit prendre en charge ce label en termes de communication ».
A partir du 1er mai, les entreprises touristiques pourront obtenir ce label si elles garantissent un « haut niveau de qualité d’accueil et de services » ainsi qu’un « haut niveau d’exigence en matière de développement durable ».
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“Oui, nous en avons besoin”, reconnaît Alain Fontaine, chef cuisinier, propriétaire du restaurant « Le Mesturet » à Paris et président de l’Association française des maîtres restaurateurs. Il était invité samedi 21 avril sur Franceinfo à réagir au nouveau label touristique « destination d’excellence ».
A partir du 1er mai, les entreprises touristiques pourront obtenir ce label si elles garantissent « haut niveau de qualité d’accueil et de services » et un « un haut niveau d’exigence en matière de développement durable et de protection de l’environnement », selon un décret publié samedi. Le système est géré par Atout France.
Pour Alain Fontaine, cela « label d’état » englobant « l’hôtellerie voire la restauration est importante pour que les touristes sachent que l’Etat s’intéresse à cette économie ». Alain Fontaine estime que“ce n’était pas normal que le label ‘Qualité tourisme’ (qui existe depuis 2005) n’intéresse que 5.000 professionnels du secteur, il fallait le dynamiser”.
De nouvelles attentes sur l’écologie
Il reconnaît que le label « Qualité tourisme » a été “un peu vieux” et “de nouvelles choses se sont produites” comme “la lutte contre le gaspillage, la recharge des voitures électriques dans les parkings de certains hôtels et de certains restaurants ou encore l’accessibilité qui n’était pas au centre du débat en 2005. Cela fait partie des services qu’il nous faut”.
Mais, selon le restaurateur, pour que ça marche, « l’Etat doit prendre en charge ce label en termes de communication ».