Retiré du circuit en 2023, le PAB a encore écopé ce mardi 23 avril d’une suspension d’un an de la part de l’Agence française antidopage, pour trois fautes de localisation.
Pierre-Ambroise Bosse, champion du monde 2017 du 800 m et éloigné des pistes depuis quatre mois, a écopé d’un an de suspension de l’Agence française antidopage (AFLD) pour trois fautes de localisation entre septembre 2022 et juin 2023, selon un rapport. décision publiée mercredi.
Cette suspension intervient alors que l’athlète, détenteur du record de France du 800 m, âgé de 31 ans, a annoncé en décembre 2023 qu’il prenait sa retraite à quelques mois des JO de Paris.
Opéré il y a plus d’un an d’un tendon de la cuisse droite, il a connu une récidive et a dû à nouveau arrêter en avril 2023, une “récidive qui avait brisé la dynamique”, a-t-il expliqué. à l’équipe lorsqu’il a annoncé sa retraite. Il a été notifié à trois reprises par l’AFLD de manquements à ses obligations de localisation entre septembre 2022 et juin 2023. A partir de trois manquements, les sportifs sont sanctionnés.
En 2019, Pierre-Ambroise Bosse a été condamné à 1 000 euros d’amende pour une violente rixe ivre, une nuit d’août 2017 en Gironde, au cours de laquelle il a été grièvement blessé au visage, ayant entraîné une fin de saison prématurée.
Après son titre mondial, Bosse n’a jamais retrouvé l’état de grâce d’août 2017 à Londres. De blessures en changements d’entraîneurs ajoutés au combat en Gironde, son image avait été sérieusement ternie et son moral grandement affecté. Fin 2020, elle a même perdu son équipementier (Puma).
Avant son titre mondial, le natif de Nantes (1,85 m, 68 kg) avait terminé au pied du podium (4e) aux JO de Rio en 2016 mais avait été éliminé avant la finale lors de ceux de Tokyo en juillet 2021.
Retiré du circuit en 2023, le PAB a encore écopé ce mardi 23 avril d’une suspension d’un an de la part de l’Agence française antidopage, pour trois fautes de localisation.
Pierre-Ambroise Bosse, champion du monde 2017 du 800 m et éloigné des pistes depuis quatre mois, a écopé d’un an de suspension de l’Agence française antidopage (AFLD) pour trois fautes de localisation entre septembre 2022 et juin 2023, selon un rapport. décision publiée mercredi.
Cette suspension intervient alors que l’athlète, détenteur du record de France du 800 m, âgé de 31 ans, a annoncé en décembre 2023 qu’il prenait sa retraite à quelques mois des JO de Paris.
Opéré il y a plus d’un an d’un tendon de la cuisse droite, il a connu une récidive et a dû à nouveau arrêter en avril 2023, une “récidive qui avait brisé la dynamique”, a-t-il expliqué. à l’équipe lorsqu’il a annoncé sa retraite. Il a été notifié à trois reprises par l’AFLD de manquements à ses obligations de localisation entre septembre 2022 et juin 2023. A partir de trois manquements, les sportifs sont sanctionnés.
En 2019, Pierre-Ambroise Bosse a été condamné à 1 000 euros d’amende pour une violente rixe ivre, une nuit d’août 2017 en Gironde, au cours de laquelle il a été grièvement blessé au visage, ayant entraîné une fin de saison prématurée.
Après son titre mondial, Bosse n’a jamais retrouvé l’état de grâce d’août 2017 à Londres. De blessures en changements d’entraîneurs ajoutés au combat en Gironde, son image avait été sérieusement ternie et son moral grandement affecté. Fin 2020, elle a même perdu son équipementier (Puma).
Avant son titre mondial, le natif de Nantes (1,85 m, 68 kg) avait terminé au pied du podium (4e) aux JO de Rio en 2016 mais avait été éliminé avant la finale lors de ceux de Tokyo en juillet 2021.