Aujourd’hui, le 10 mai, est la Journée nationale de commémoration de l’esclavage, de la traite et de leurs abolitions. L’occasion d’aborder un problème qui refait surface dans le débat public, celui de la dette haïtienne, à savoir le paiement exigé d’Haïti par la France, il y a 200 ans, en 1825, d’une indemnisation de 150 millions de francs après son indépendance. La France doit-elle aujourd’hui s’engager sur des réparations ou des restitutions ? Pierre-Yves Bocquet, directeur adjoint de la fondation pour la mémoire de l’esclavage, est l’invité international majeur de notre matinée.
Aujourd’hui, le 10 mai, est la Journée nationale de commémoration de l’esclavage, de la traite et de leurs abolitions. L’occasion d’aborder un problème qui refait surface dans le débat public, celui de la dette haïtienne, à savoir le paiement exigé d’Haïti par la France, il y a 200 ans, en 1825, d’une indemnisation de 150 millions de francs après son indépendance. La France doit-elle aujourd’hui s’engager sur des réparations ou des restitutions ? Pierre-Yves Bocquet, directeur adjoint de la fondation pour la mémoire de l’esclavage, est l’invité international majeur de notre matinée.