Publié
Mise à jour
Durée de la vidéo : 2 minutes
Les habitants de l’est de Rafah ont commencé à évacuer leurs quartiers lundi 6 mai. L’armée israélienne leur recommande d’aller plus à l’ouest de la ville.
Un nouvel exode a commencé à Rafah (Gaza) lundi 6 mai. Sur des charrettes, des enfants s’accrochent à leurs ballots. Dans une maison, une mère prépare des colis à la hâte. C’est sa troisième évacuation. « Nous sommes fatigués de tout ça, nous voulons rentrer chez nous. Nous voulons nous arrêter quelque part et nous sentir en sécurité », dit-elle en pleurant. 100 000 personnes des quartiers est de Rafah sont appelées à évacuer.
Tentes sur les terres agricoles
L’armée israélienne a envoyé des tracts par avion, des SMS au téléphone et a appelé les résidents sur leur téléphone portable. « Bien sûr, je prends cet ordre d’évacuation au sérieux. On ne plaisante pas avec ça », explique un habitant. Dans ses messages, l’armée israélienne indique une zone de retrait. Des tentes ont été installées sur les terres agricoles ces dernières semaines. De son côté, l’Unicef s’inquiète pour les enfants, une nouvelle fois déplacés.
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Les habitants de l’est de Rafah ont commencé à évacuer leurs quartiers lundi 6 mai. L’armée israélienne leur recommande d’aller plus à l’ouest de la ville.
Un nouvel exode a commencé à Rafah (Gaza) lundi 6 mai. Sur des charrettes, des enfants s’accrochent à leurs ballots. Dans une maison, une mère prépare des colis à la hâte. C’est sa troisième évacuation. « Nous sommes fatigués de tout ça, nous voulons rentrer chez nous. Nous voulons nous arrêter quelque part et nous sentir en sécurité », dit-elle en pleurant. 100 000 personnes des quartiers est de Rafah sont appelées à évacuer.
Tentes sur les terres agricoles
L’armée israélienne a envoyé des tracts par avion, des SMS au téléphone et a appelé les résidents sur leur téléphone portable. « Bien sûr, je prends cet ordre d’évacuation au sérieux. On ne plaisante pas avec ça », explique un habitant. Dans ses messages, l’armée israélienne indique une zone de retrait. Des tentes ont été installées sur les terres agricoles ces dernières semaines. De son côté, l’Unicef s’inquiète pour les enfants, une nouvelle fois déplacés.