C’est curieux, tout de même, ce besoin d’avoir des réponses, avant, et de ne pas les aimer, après : si on l’avait su, on n’aurait pas été si pressé de connaître, mardi soir, les infinies faiblesses du PSG sur à l’échelle européenne, la récurrence des sorties coûteuses de Gianluigi Donnarumma, le manque d’impact et d’influence d’un environnement mal conçu pour l’Europe, les coupures d’électricité sur coups de pied arrêtés, ou encore l’impossibilité d’offrir le même danger offensif sans Ousmane Dembélé.