« Vivement le 9 juin. » Rarement un slogan aura résumé à ce point un esprit de campagne. A mesure que les jours passent et que la date fatidique des élections européennes approche, les cadres du Rassemblement national s’ennuient et sont de plus en plus nombreux à se pincer face à ce qu’ils croient être un petit miracle : « Cette non-campagne est surréaliste. Cela ne correspond à rien de ce que nous faisons habituellement. Et pourtant, jusqu’à présent, ça marche», confie à la flamme un chef de parti aux yeux écarquillés.
De fait, s’il n’est plus un petit parti marginal obligé de se bousculer pour exister lors d’une séquence électorale, le Rassemblement national s’est toujours efforcé de faire campagne. Notamment pour mobiliser les électeurs, considérés comme les plus faciles à s’abstenir, lors des urnes…
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