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Durée de la vidéo : 2 min
Surveillé par le Rassemblement national, critiqué par la gauche et observé par d’autres, Michel Barnier est depuis deux jours sous le feu des projecteurs. Son premier déplacement officiel a attiré l’attention de tous. Le nouveau Premier ministre a choisi l’hôpital pour une rencontre avec les soignants.
Deux jours après sa nomination, la première visite du nouveau Premier ministre a eu lieu à l’hôpital Necker à Paris. Un choix symbolique pour affirmer que la santé sera une priorité du gouvernement. Il se revendique négociateur et tient un langage de vérité : « Ce qui m’intéresse c’est le travail quotidien, on ne va pas faire de miracles »explique-t-il. Michel Barnier poursuit également ses consultations, notamment avec la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet. L’Assemblée, lieu où tout va se jouer pour le nouveau chef du gouvernement.
Michel Barnier dispose d’une majorité relative réduite avec le camp présidentiel, la droite républicaine et le groupe Liot au centre… 235 députés loin des 289 pour constituer une majorité absolue. Si le RN décidait de faire alliance avec la gauche, le Premier ministre tomberait. Jordan Bardella se pose aussi en arbitre sans complexe. « M. Barnier est sous la surveillance démocratique d’un parti politique désormais incontournable. » Michel Barnier rétorque : « Je suis sous la surveillance des Français ».
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Surveillé par le Rassemblement national, critiqué par la gauche et observé par d’autres, Michel Barnier est depuis deux jours sous le feu des projecteurs. Son premier déplacement officiel a attiré l’attention de tous. Le nouveau Premier ministre a choisi l’hôpital pour une rencontre avec les soignants.
Deux jours après sa nomination, la première visite du nouveau Premier ministre a eu lieu à l’hôpital Necker à Paris. Un choix symbolique pour affirmer que la santé sera une priorité du gouvernement. Il se revendique négociateur et tient un langage de vérité : « Ce qui m’intéresse c’est le travail quotidien, on ne va pas faire de miracles »explique-t-il. Michel Barnier poursuit également ses consultations, notamment avec la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet. L’Assemblée, lieu où tout va se jouer pour le nouveau chef du gouvernement.
Michel Barnier dispose d’une majorité relative réduite avec le camp présidentiel, la droite républicaine et le groupe Liot au centre… 235 députés loin des 289 pour constituer une majorité absolue. Si le RN décidait de faire alliance avec la gauche, le Premier ministre tomberait. Jordan Bardella se pose aussi en arbitre sans complexe. « M. Barnier est sous la surveillance démocratique d’un parti politique désormais incontournable. » Michel Barnier rétorque : « Je suis sous la surveillance des Français ».