Après des années difficiles pour le marché immobilier français, marquées par la hausse des taux d’intérêt et la baisse des prix, les premiers signes de reprise commencent à se faire sentir dans plusieurs régions du pays. Mais cette tendance reste incertaine et les contrastes sont forts, même au sein d’une même région. Le point sur les secteurs rendus attractifs par la baisse des prix et ceux qui, au contraire, connaissent toujours une demande soutenue.
Paris : une forte baisse, mais qui ralentit
Dans la capitale, une reprise fragile s’amorce et devrait se confirmer dans les prochains mois, peut-être avec l’éclairage apporté par les Jeux olympiques, si l’on en croit les agents immobiliers. Meilleurs Agents affirme par exemple que les prix ont renoué avec une – très légère – hausse (+0,5%) au cours des trois derniers mois. Ils restent néanmoins sous la barre des 10 000 euros le mètre carré dans de nombreux arrondissements, à tel point que de nombreux vendeurs ont changé leurs plans et n’ont pas mis leur bien en vente. L’observatoire Guy Hoquet L’Immobilier note ainsi que le nombre de logements à vendre à Paris a subi un fort recul de 8,9% au premier semestre contre +7,2% sur l’ensemble du territoire.
Seuls les secteurs les plus prestigieux, qui restent attractifs pour la clientèle étrangère et où les prix sont toujours supérieurs à 14 000 euros, ont vu l’offre continuer à augmenter depuis un an : +0,5% au 5et district et jusqu’à 11,7% d’augmentation dans le 6eet. À la rentrée, le baromètre LPI-IAD indique que douze des vingt arrondissements de la capitale affichent des prix moyens supérieurs à 10 000 euros le mètre carré. C’est le cas dans l’hypercentre de Paris (1euh et 11et. Alors que, dans le 12et13et et 14et Dans les arrondissements les plus calmes, le mètre carré se situe entre 8 800 et 9 600 euros. Lorsque l’on cherche à acheter, viser ces quartiers agréables à vivre peut être une bonne option pour profiter de prix plus bas que les années précédentes. Pour un budget plus limité, les quartiers les plus intéressants restent le 18et19et et 20et arrondissements avec un prix compris entre 7 700 et 9 400 euros le mètre carré. En revanche, les arrondissements les plus chers (6et et 7et) restent inaccessibles à la plupart des ménages, dont le budget est supérieur à 14 000 euros par mètre carré. Les prix atteignent même 16 620 euros par mètre carré autour des Champs-Elysées (8et).
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Après des années difficiles pour le marché immobilier français, marquées par la hausse des taux d’intérêt et la baisse des prix, les premiers signes de reprise commencent à se faire sentir dans plusieurs régions du pays. Mais cette tendance reste incertaine et les contrastes sont forts, même au sein d’une même région. Le point sur les secteurs rendus attractifs par la baisse des prix et ceux qui, au contraire, connaissent toujours une demande soutenue.
Paris : une forte baisse, mais qui ralentit
Dans la capitale, une reprise fragile s’amorce et devrait se confirmer dans les prochains mois, peut-être avec l’éclairage apporté par les Jeux olympiques, si l’on en croit les agents immobiliers. Meilleurs Agents affirme par exemple que les prix ont renoué avec une – très légère – hausse (+0,5%) au cours des trois derniers mois. Ils restent néanmoins sous la barre des 10 000 euros le mètre carré dans de nombreux arrondissements, à tel point que de nombreux vendeurs ont changé leurs plans et n’ont pas mis leur bien en vente. L’observatoire Guy Hoquet L’Immobilier note ainsi que le nombre de logements à vendre à Paris a subi un fort recul de 8,9% au premier semestre contre +7,2% sur l’ensemble du territoire.
Seuls les secteurs les plus prestigieux, qui restent attractifs pour la clientèle étrangère et où les prix sont toujours supérieurs à 14 000 euros, ont vu l’offre continuer à augmenter depuis un an : +0,5% au 5et district et jusqu’à 11,7% d’augmentation dans le 6eet. À la rentrée, le baromètre LPI-IAD indique que douze des vingt arrondissements de la capitale affichent des prix moyens supérieurs à 10 000 euros le mètre carré. C’est le cas dans l’hypercentre de Paris (1euh et 11et. Alors que, dans le 12et13et et 14et Dans les arrondissements les plus calmes, le mètre carré se situe entre 8 800 et 9 600 euros. Lorsque l’on cherche à acheter, viser ces quartiers agréables à vivre peut être une bonne option pour profiter de prix plus bas que les années précédentes. Pour un budget plus limité, les quartiers les plus intéressants restent le 18et19et et 20et arrondissements avec un prix compris entre 7 700 et 9 400 euros le mètre carré. En revanche, les arrondissements les plus chers (6et et 7et) restent inaccessibles à la plupart des ménages, dont le budget est supérieur à 14 000 euros par mètre carré. Les prix atteignent même 16 620 euros par mètre carré autour des Champs-Elysées (8et).
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