Ensemble, ils feront la fête. L’équipe de France d’athlétisme a réalisé une belle performance, dans la nuit de samedi à dimanche, aux relais mondiaux de Nassau (Bahamas) en qualifiant quatre de ses cinq équipes pour les Jeux olympiques de Paris (26 juillet-11 août).
Les équipes mixtes du 4×400 m, du 4×100 m féminin et masculin et du 4×400 m féminin ont validé leur billet pour le plus grand événement sportif mondial cet été. Autant d’occasions de briller au sein d’une sélection en mal de prétendants aux podiums olympiques individuels.
Paradoxalement, c’est le relais 4×400 m hommes, vice-champion du monde en 2023 à Budapest, qui n’a pas réussi – pour l’instant – à décrocher une place aux Jeux, le deuxième relais Thomas Jordier ayant dû arrêter sa course, blessé. . Ses coéquipiers auront une autre chance de se qualifier pour les Jeux olympiques dimanche, lors d’une course de repêchage.
« Cela fait deux ans que nous travaillons sur cet objectif »
Les Relais Mondiaux de Nassau offrent 14 places qualificatives pour les Jeux dans les cinq relais disputés sur piste. Quatre séries se sont déroulées samedi pour chaque discipline : les deux premières équipes de ces séries se sont qualifiées directement pour les finales de dimanche et pour les JO.
C’est le cas du 4×400 m mixte tricolore emmené par Thomas Jordier, quelques heures avant sa blessure, Amandine Brossier, Gilles Biron et Louise Maraval pour une deuxième place en 3 min 14 sec 71, derrière la Pologne (3 min 13 sec 53) .
Orlann Oliere, Gémima Joseph, Hélène Parisot et Mallory Leconte ont ensuite couru en 43 sec 09 derrière les Etats-Unis pour assurer la qualification du 4×100 m féminin, avant d’être imitées, chez les hommes, par Mickael Zeze, Jeff Erius, Pablo Mateo et Aymeric Priam. , vainqueur en 38 sec 32 devant la Grande-Bretagne. « Cela fait deux ans que nous travaillons sur cet objectif, je suis content d’avoir validé la qualification »a commenté Jeff Erius.
Shana Grebo, Fanny Peltier, Diana Iscaye et Camille Seri ont ensuite propulsé le 4×400 m féminin à la 2e place.e place dans leur série en 3 min 28 sec 06, derrière la Pologne. « Nous ne pensions pas pouvoir nous qualifier dès la première course, mais finalement tout est possible »s’est réjouie Diana Iscaye. « On a vu la Tour Eiffel à mesure que l’arrivée se rapprochait »sourit Fanny Peltier en pensant à leur futur été parisien.
Les cadors internationaux présents aux Bahamas ont brillé pour leur équipe nationale, à l’image de l’Américain Noah Lyles, qualifié au 4×100 m, comme du champion olympique italien Marcell Jacobs, ou de la Néerlandaise Femke Bol, au 4×400 m mixte.
Bulletin
« Paris 2024 »
« Le Monde » décrypte l’actualité et les enjeux des Jeux olympiques et paralympiques de 2024.
Registre
Dimanche auront lieu les courses de repêchage avec trois séries par discipline, pour deux places qualificatives pour les Jeux par série. Deux places par épreuve resteront à gagner après les relais mondiaux, en fonction des résultats entre le 31 décembre 2022 et le 30 juin 2024.
Ensemble, ils feront la fête. L’équipe de France d’athlétisme a réalisé une belle performance, dans la nuit de samedi à dimanche, aux relais mondiaux de Nassau (Bahamas) en qualifiant quatre de ses cinq équipes pour les Jeux olympiques de Paris (26 juillet-11 août).
Les équipes mixtes du 4×400 m, du 4×100 m féminin et masculin et du 4×400 m féminin ont validé leur billet pour le plus grand événement sportif mondial cet été. Autant d’occasions de briller au sein d’une sélection en mal de prétendants aux podiums olympiques individuels.
Paradoxalement, c’est le relais 4×400 m hommes, vice-champion du monde en 2023 à Budapest, qui n’a pas réussi – pour l’instant – à décrocher une place aux Jeux, le deuxième relais Thomas Jordier ayant dû arrêter sa course, blessé. . Ses coéquipiers auront une autre chance de se qualifier pour les Jeux olympiques dimanche, lors d’une course de repêchage.
« Cela fait deux ans que nous travaillons sur cet objectif »
Les Relais Mondiaux de Nassau offrent 14 places qualificatives pour les Jeux dans les cinq relais disputés sur piste. Quatre séries se sont déroulées samedi pour chaque discipline : les deux premières équipes de ces séries se sont qualifiées directement pour les finales de dimanche et pour les JO.
C’est le cas du 4×400 m mixte tricolore emmené par Thomas Jordier, quelques heures avant sa blessure, Amandine Brossier, Gilles Biron et Louise Maraval pour une deuxième place en 3 min 14 sec 71, derrière la Pologne (3 min 13 sec 53) .
Orlann Oliere, Gémima Joseph, Hélène Parisot et Mallory Leconte ont ensuite couru en 43 sec 09 derrière les Etats-Unis pour assurer la qualification du 4×100 m féminin, avant d’être imitées, chez les hommes, par Mickael Zeze, Jeff Erius, Pablo Mateo et Aymeric Priam. , vainqueur en 38 sec 32 devant la Grande-Bretagne. « Cela fait deux ans que nous travaillons sur cet objectif, je suis content d’avoir validé la qualification »a commenté Jeff Erius.
Shana Grebo, Fanny Peltier, Diana Iscaye et Camille Seri ont ensuite propulsé le 4×400 m féminin à la 2e place.e place dans leur série en 3 min 28 sec 06, derrière la Pologne. « Nous ne pensions pas pouvoir nous qualifier dès la première course, mais finalement tout est possible »s’est réjouie Diana Iscaye. « On a vu la Tour Eiffel à mesure que l’arrivée se rapprochait »sourit Fanny Peltier en pensant à leur futur été parisien.
Les cadors internationaux présents aux Bahamas ont brillé pour leur équipe nationale, à l’image de l’Américain Noah Lyles, qualifié au 4×100 m, comme du champion olympique italien Marcell Jacobs, ou de la Néerlandaise Femke Bol, au 4×400 m mixte.
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Dimanche auront lieu les courses de repêchage avec trois séries par discipline, pour deux places qualificatives pour les Jeux par série. Deux places par épreuve resteront à gagner après les relais mondiaux, en fonction des résultats entre le 31 décembre 2022 et le 30 juin 2024.