L’annonce de la mort de Hassan Nasrallah, leader du Hezbollah depuis plus de trois décennies, après une frappe israélienne au sud de Beyrouth, dans la soirée du vendredi 27 septembre, a provoqué un choc international. Très vite, les regards se sont tournés vers l’Iran, principal allié de l’organisation armée chiite libanaise.
« Les criminels sionistes doivent savoir qu’ils sont trop petits pour causer des dommages importants au Hezbollah. » a déclaré le guide suprême de la République islamique d’Iran, Ali Khamenei, dans une déclaration citée par Iran International. Sans citer nommément Hassan Nasrallah, le dirigeant iranien a assuré que “Toutes les forces de résistance de la région sont du côté du Hezbollah et le soutiennent.”
Le Poste de Jérusalem, reprenant des informations de l’agence de presse Reuters, rapporte que, peu après l’annonce de la mort de Nasrallah, l’ayatollah Ali Khamenei « a été transféré dans un endroit sûr du pays où des mesures de sécurité renforcées ont été mises en place ».
Dans un message publié sur X, Nasser Kanani, le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, a déclaré : « La ligne glorieuse du leader de la résistance, Hassan Nasrallah, se poursuivra et son objectif sacré sera atteint avec le
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