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Durée de la vidéo : 2 minutes
Les Insoumises Mathilde Panot et Rima Hassan ont été interrogées ce mardi 30 avril par la police dans le cadre d’enquêtes pour « apologie du terrorisme » après des propos liés à la guerre au Moyen-Orient.
Mathilde Panot et Rima Hassan, deux personnalités de La France insoumise, ont été convoquées par la police judiciaire ce mardi 30 avril pour « apologie du terrorisme ». Leur parti parle de censure et d’exploitation politique. Rima Hassan, numéro 7 de la liste de La France insoumise aux prochaines élections européennes, est pointée du doigt pour avoir publiquement apposé ses excuses pour un acte de terrorisme, commis à l’aide d’un service de communication publique en ligne. Le militant pro-palestinien est accusé d’avoir légitimé les actions du Hamas contre l’État d’Israël le 7 octobre.
Des rapports en hausse
De son côté, Mathilde Panot, présidente du groupe LFI à l’Assemblée nationale, a critiqué sa convocation lors d’une réunion publique. Depuis le 7 octobre, date de l’attaque du Hamas en Israël, le nombre de rapports et de plaintes glorifiant le terrorisme a explosé.
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Les Insoumises Mathilde Panot et Rima Hassan ont été interrogées ce mardi 30 avril par la police dans le cadre d’enquêtes pour « apologie du terrorisme » après des propos liés à la guerre au Moyen-Orient.
Mathilde Panot et Rima Hassan, deux personnalités de La France insoumise, ont été convoquées par la police judiciaire ce mardi 30 avril pour « apologie du terrorisme ». Leur parti parle de censure et d’exploitation politique. Rima Hassan, numéro 7 de la liste de La France insoumise aux prochaines élections européennes, est pointée du doigt pour avoir publiquement apposé ses excuses pour un acte de terrorisme, commis à l’aide d’un service de communication publique en ligne. Le militant pro-palestinien est accusé d’avoir légitimé les actions du Hamas contre l’État d’Israël le 7 octobre.
Des rapports en hausse
De son côté, Mathilde Panot, présidente du groupe LFI à l’Assemblée nationale, a critiqué sa convocation lors d’une réunion publique. Depuis le 7 octobre, date de l’attaque du Hamas en Israël, le nombre de rapports et de plaintes glorifiant le terrorisme a explosé.