Rosario, quel est votre premier sentiment après avoir franchi cette fameuse ligne ?
« Je suis libre, c’est une pression comme rien d’autre, on est chez nous en France ! Je n’avais pas le droit de baisser les bras, je suis fière d’être française, comme l’étaient mes parents issus de l’immigration. Mes enfants sont derrière moi. J’ai un fils qui n’a pas l’habitude de parler, il m’a envoyé un SMS samedi, j’ai failli pleurer… Je n’arrivais pas à le lâcher. »
Parlez-nous de la dernière ligne droite, de l’ambiance…
“On est portés par le public. Mais je peux vous assurer que quand on a franchi la ligne… Ras-le-bol (sic). Il faut remercier tous ceux qui ont rendu possible ce marathon, ces Jeux, la Fédération…”.
« Avec mes deux guides, nous formons un trio d’enfer »
Parlez-nous de…