Compte tenu de nos prévisions de températures très fraîches pour les derniers jours du mois, le mois de septembre 2024 devrait se terminer avec un indicateur thermique à -0,2°C en dessous de la normale 1991-2020. Si ce déficit de température est léger, il faut noter que cela ne s’est pas produit depuis janvier 2022. Cela met fin à 31 mois consécutifs au-dessus ou dans la norme saisonnière.
Bilan de septembre 2024 © La chaîne météo
L’évolution de l’indicateur thermique national sur l’ensemble du mois de septembre montre que des périodes douces ont alterné avec des périodes plus fraîches. Mi-septembre, des gelées blanches ont même été observées très tôt du centre au nord-est, dans certains trous froids (plaines ou fonds de vallées très abrités). La période la plus fraîche du mois est attendue pour le week-end prochain avec un déficit proche de 5°C dimanche et des températures dignes du 1er novembre.
Un mois de septembre un peu frais © La chaîne météo
Les précipitations ont été fréquentes au cours de ce mois de septembre. À l’échelle nationale, elles sont supérieures de 53 % au niveau des précipitations de la période du 1er au 24 septembre. Avec de fortes pluies prévues jusqu’à vendredi, l’excès de précipitations devrait encore augmenter. Ce mois devrait se terminer avec un excès de précipitations remarquable, faisant de septembre 2024 le mois le plus humide depuis au moins 30 ans.
Un mois de septembre très humide © La chaîne météo
L’ensoleillement est à nouveau déficitaire ce mois de septembre avec un déficit d’environ 16% sur la période du 1er au 24 septembre. Avec très peu d’ensoleillement prévu dans les prochains jours, ce déficit pourrait encore se creuser.
Les années se suivent et ne se ressemblent pas puisque septembre 2023 s’est classé au 1er rang des mois de septembre les plus chauds jamais observés. Il a été sec et ensoleillé avec un déficit pluviométrique de +27% et un excès d’ensoleillement de +16%.
Compte tenu de nos prévisions de températures très fraîches pour les derniers jours du mois, le mois de septembre 2024 devrait se terminer avec un indicateur thermique à -0,2°C en dessous de la normale 1991-2020. Si ce déficit de température est léger, il faut noter que cela ne s’est pas produit depuis janvier 2022. Cela met fin à 31 mois consécutifs au-dessus ou dans la norme saisonnière.
Bilan de septembre 2024 © La chaîne météo
L’évolution de l’indicateur thermique national sur l’ensemble du mois de septembre montre que des périodes douces ont alterné avec des périodes plus fraîches. Mi-septembre, des gelées blanches ont même été observées très tôt du centre au nord-est, dans certains trous froids (plaines ou fonds de vallées très abrités). La période la plus fraîche du mois est attendue pour le week-end prochain avec un déficit proche de 5°C dimanche et des températures dignes du 1er novembre.
Un mois de septembre un peu frais © La chaîne météo
Les précipitations ont été fréquentes au cours de ce mois de septembre. À l’échelle nationale, elles sont supérieures de 53 % au niveau des précipitations de la période du 1er au 24 septembre. Avec de fortes pluies prévues jusqu’à vendredi, l’excès de précipitations devrait encore augmenter. Ce mois devrait se terminer avec un excès de précipitations remarquable, faisant de septembre 2024 le mois le plus humide depuis au moins 30 ans.
Un mois de septembre très humide © La chaîne météo
L’ensoleillement est à nouveau déficitaire ce mois de septembre avec un déficit d’environ 16% sur la période du 1er au 24 septembre. Avec très peu d’ensoleillement prévu dans les prochains jours, ce déficit pourrait encore se creuser.
Les années se suivent et ne se ressemblent pas puisque septembre 2023 s’est classé au 1er rang des mois de septembre les plus chauds jamais observés. Il a été sec et ensoleillé avec un déficit pluviométrique de +27% et un excès d’ensoleillement de +16%.