Avec trois buts et six passes décisives, Godson Kyeremeh est un attaquant à surveiller pour les défenses adverses. L’ailier du SM Caen ne connaît que le match contre l’USL Dunkerque, vendredi 10 mai (20h45).
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« C’est quelque chose d’ultra positif de jouer des matchs à enjeux, c’est quelque chose que j’aime. On en profite au maximum, cela n’arrive pas à chaque saison. Nous n’aimons pas vraiment regarder les autres. Si on ne gagne pas contre Dunkerque, ça va être compliqué. Il nous faut un 6/6. Ce n’est pas la première fois que je joue ce type de match, je l’ai déjà vécu avec Annecy, mais je ne me mets pas plus de pression que d’habitude. Peut-être que le début de saison de Dunkerque était une erreur, ils sont deuxièmes de la phase retour.
Tous les matchs sont compliqués, tous les adversaires ont leur propre style de jeu. Nous allons essayer de nous y adapter. C’est un super match à jouer. Il y a eu des matches où c’était compliqué d’entrer dans le vif du sujet, comme à Saint-Etienne on a mal commencé. Nous ne devons pas répéter cela. »
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« Rodez et Pau sont des équipes que les gens ne pensent pas voir au sommet. Nous avons toujours eu un état d’esprit impeccable, nous voulons tous être au sommet. Aucun de nous ne pensait que c’était fini. Quand on joue un match comme celui contre Dunkerque, ça ajoute évidemment quelque chose. On se dit qu’il y a encore du chemin. C’est agréable d’être formé ici et de jouer quelque chose pour le club. C’est bien de montrer aux jeunes du centre qu’ils peuvent devenir titulaires en équipe première. »
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« J’avais deux matches pour m’y remettre, avant de débuter contre Laval. Je me sens bien physiquement, le travail a été bien fait pour que je revienne, l’envie de jouer aussi. On a besoin de tout le monde, c’était important pour moi d’être là pour les derniers matches.
Je travaille beaucoup pour être au meilleur de ma forme. Je me sens plus détendu après avoir pu marquer et être décisif. C’est au coach de dire que j’ai franchi un cap. Il m’a donné beaucoup de confiance, j’en avais un peu perdu. Je suis dans un meilleur climat, ça se voit sur le terrain. Nous parlons et rions beaucoup avec lui, j’ai besoin de ces choses. »
« C’est très bien pour nous, pour le club (il y en aura 300 à Dunkerque). Sur le but de Bilal, on a bien vu l’explosion dans le stade. Savoir que le public est avec nous nous pousse. Quand vous entendez les fans crier, cela vous rend meilleur. Les supporters ajoutent toujours quelque chose. »
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