Au lendemain de sa septième place dans l’épreuve de slalom parallèle individuel, Arnaud Gaudet s’est associé à l’Ontarienne Megan Farrell pour prendre la onzième place du slalom parallèle par équipe mercredi à la Coupe du monde de surf. chutes de neige à Bad Gastein, Autriche.
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Les deux Canadiennes ont réussi une passe au premier tour avant de se heurter aux Suisses Nevin Galmarini et Ladina Jenny, possible quatrième.
Dans sa descente, la planchiste de Montcalm devance Galmarini de 4 centièmes de seconde, sauf que sa coéquipière a terminé le parcours avec un retard de 0,79 seconde sur son adversaire.
« Nous avons été un peu malchanceux parce que nous étions face à une équipe assez forte. Nevin Galmarini est champion olympique (slalom géant en parallèle) en 2018 et Ladina Jenny compte deux podiums cette saison », a commenté Gaudet, qui a 21 ans.
L’équipe Canada 3, composée de Jasey-Jay Anderson et Kaylie Buck, a également atteint les huitièmes de finale et a terminé sa journée en 16e place. Les Canadiens ont d’abord devancé Pologne 2, puis ont vu leur journée s’arrêter contre les Russes Dmitrii Loginov et Sofiya Nadyrshina après leur avoir concédé 1,77 seconde.
Canada 2, qui réunissait Darren Gardner et Jennifer Hawkrigg, s’est classé 14e.
Arvid Auner et Julia Dujmovits d’Autriche 4 ont battu Dmitry Karlagachev et Natalia Soboleva de Russie 2 dans la grande finale. Elias Huber et Ramona Theresia Hofmeister (Allemagne 1) complètent le podium.
« Je suis assez confiant dans ma façon de « rider » en slalom. Je vois que je suis dans le meilleur et que je peux le faire. C’est aussi la confiance que je peux apporter sur mes parcours de slalom géant », a poursuivi Gaudet, qui aimait prendre le départ de cette épreuve disputée en soirée.
Le circuit de la Coupe du monde reste en Autriche et se rendra à Simonhohe pour des épreuves de slalom géant individuelles et par équipes en parallèle vendredi et samedi.
Gaudet a déjà commencé à préparer cette compétition, car son palmarès en slalom géant est moins bien fourni que celui des épreuves de slalom. Mercredi matin, il a effectué une demi-douzaine de descentes d’entraînement en slalom géant.
« Simonhohe, c’est difficile car la pente de la piste est très plate. Nous devons garder notre vitesse et les temps sont toujours très serrés. Une petite erreur peut vous coûter une demi-seconde. Nous nous sommes entraînés là-bas avant le jour de l’An et à la fin, je commençais à avoir un bon toucher et ça allait de mieux en mieux. Je pense que je suis capable de faire quelque chose. Ça va du bon côté ! », a-t-il conclu.
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