Publié
Durée de la vidéo : 2 minutes
C’est l’une des fleurs stars du mois de mai et de la fête des mères. La cueillette des pivoines a commencé quelques semaines à l’avance. Les producteurs ne cachent pas leur inquiétude face au réchauffement climatique, défavorable à leurs cultures.
Sur les étals d’un fleuriste à Montpellier (Hérault), on ne voit que la pivoine. Cette fleur colorée, synonyme de printemps, séduit les clients. La pivoine est vendue en boutons pour que la fleur puisse s’épanouir chez soi. «C’est un peu la fleur préférée des Français en ce moment»se réjouit le fleuriste Laurent Ciron.
Les récoltes commencent plus tôt
Appréciée mais délicate, la pivoine est sensible aux aléas de la météo. « Il n’y en avait pas beaucoup cette année », regrette Julien Fernandez, producteur de pivoines. Sa récolte a commencé un mois plus tôt que l’année dernière. « Il n’y a pas eu d’induction florale pour que la fleur se développe. Sur cette variété nous serons à 30%, les autres variétés à 80% ou 90% de moins », poursuit le producteur. Son métier dépend beaucoup de la météo. Les producteurs français se disent très touchés par le réchauffement climatique.
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C’est l’une des fleurs stars du mois de mai et de la fête des mères. La cueillette des pivoines a commencé quelques semaines à l’avance. Les producteurs ne cachent pas leur inquiétude face au réchauffement climatique, défavorable à leurs cultures.
Sur les étals d’un fleuriste à Montpellier (Hérault), on ne voit que la pivoine. Cette fleur colorée, synonyme de printemps, séduit les clients. La pivoine est vendue en boutons pour que la fleur puisse s’épanouir chez soi. «C’est un peu la fleur préférée des Français en ce moment»se réjouit le fleuriste Laurent Ciron.
Les récoltes commencent plus tôt
Appréciée mais délicate, la pivoine est sensible aux aléas de la météo. « Il n’y en avait pas beaucoup cette année », regrette Julien Fernandez, producteur de pivoines. Sa récolte a commencé un mois plus tôt que l’année dernière. « Il n’y a pas eu d’induction florale pour que la fleur se développe. Sur cette variété nous serons à 30%, les autres variétés à 80% ou 90% de moins », poursuit le producteur. Son métier dépend beaucoup de la météo. Les producteurs français se disent très touchés par le réchauffement climatique.