Quelle est votre relation avec le FC Nantes ?
Jérôme Pineau : « Une relation passionnée, je dirais. Je suis arrivé à Nantes en 1984 à l’âge de 4 ans en provenance de Rouen où les Diables Rouges avaient depuis longtemps terminé (rires) ! Tout de suite, j’ai joué au foot, c’est devenu le rêve de tout gamin de porter ce maillot. J’ai eu la chance de le porter, après, c’est devenu une sorte de fil rouge dans ma vie. Devenu sportif professionnel, j’ai pu intégrer un peu plus le club, mieux connaître les garçons. Avec certains d’entre eux, on est devenu très proches. Pour moi, ça reste l’emblème de la ville. A l’étranger, même en France, Nantes c’est le FC Nantes. Et puis ça reste un moment très sympa quand on va au stade, il y a une tribune fantastique, des couleurs qui ressortent… Sans oublier l’histoire (club, jeu…). On reste sur l’idée Budzynski, Suaudeau, Denoueix, Georges Eo, José Arribas, Deschamps, Desailly. C’est toujours resté une fierté. Donc, on est plus ou moins fier parfois (rires) mais cela reste LE moteur de la vie nantaise quelque part. »
« À Saint-Pierre, Grégory Pujol nous a écrasés. La puissance qu’il dégageait était juste incroyable ! »
Avez-vous joué au FC Nantes ?
« Pour être précis, j’ai été repéré deux fois par le FCN alors que je disputais la Coupe du monde des élèves à Saint-Pierre. La première fois, je n’y suis pas allé, mon père a dit non, pensant que j’étais bien dans le petit club de Saint-Yves. L’année suivante, Guy (Hillion) et le moustachu (Joël Bichon, ndlr) sont revenus travailler et, du coup, j’ai participé à un tournoi de pré-saison avec eux. J’ai donc été très proche d’y jouer. »
Vous souvenez-vous d’un joueur aux côtés duquel vous avez travaillé ?
Quelle est votre relation avec le FC Nantes ?
Jérôme Pineau : « Une relation passionnée, je dirais. Je suis arrivé à Nantes en 1984 à l’âge de 4 ans en provenance de Rouen où les Diables Rouges avaient depuis longtemps terminé (rires) ! Tout de suite, j’ai joué au foot, c’est devenu le rêve de tout gamin de porter ce maillot. J’ai eu la chance de le porter, après, c’est devenu une sorte de fil rouge dans ma vie. Devenu sportif professionnel, j’ai pu intégrer un peu plus le club, mieux connaître les garçons. Avec certains d’entre eux, on est devenu très proches. Pour moi, ça reste l’emblème de la ville. A l’étranger, même en France, Nantes c’est le FC Nantes. Et puis ça reste un moment très sympa quand on va au stade, il y a une tribune fantastique, des couleurs qui ressortent… Sans oublier l’histoire (club, jeu…). On reste sur l’idée Budzynski, Suaudeau, Denoueix, Georges Eo, José Arribas, Deschamps, Desailly. C’est toujours resté une fierté. Donc, on est plus ou moins fier parfois (rires) mais cela reste LE moteur de la vie nantaise quelque part. »
« À Saint-Pierre, Grégory Pujol nous a écrasés. La puissance qu’il dégageait était juste incroyable ! »
Avez-vous joué au FC Nantes ?
« Pour être précis, j’ai été repéré deux fois par le FCN alors que je disputais la Coupe du monde des élèves à Saint-Pierre. La première fois, je n’y suis pas allé, mon père a dit non, pensant que j’étais bien dans le petit club de Saint-Yves. L’année suivante, Guy (Hillion) et le moustachu (Joël Bichon, ndlr) sont revenus travailler et, du coup, j’ai participé à un tournoi de pré-saison avec eux. J’ai donc été très proche d’y jouer. »
Vous souvenez-vous d’un joueur aux côtés duquel vous avez travaillé ?