L’université Columbia à New York, théâtre de manifestations pro-palestiniennes depuis près d’une semaine, “a annulé ses cours en présentiel le 22 avril.” Sur le campus de Yale, Connecticut, « La police a arrêté des dizaines de manifestants ; tandis que les étudiants pro-palestiniens ont commencé à installer des camps dans d’autres universités, notamment à Berkeley, en Californie. rapports Le Washington Post.
Les protestations contre la guerre menée par Israël à Gaza se sont en effet encore intensifiées dans de nombreuses universités aux États-Unis. Les étudiants multiplient leurs occupations en installant des tentes sur le campus, en perturbant les événements universitaires et en se faisant arrêter par la police. De quoi nourrir un « sentiment croissant de chaos et de répression » à la fin de l’année universitaire, note le journal de la capitale fédérale américaine.
De leur côté, “Les administrateurs de ces universités, dont certaines comptent parmi les plus prestigieuses du pays, tentent de calmer les esprits sur leurs campus déchirés par le conflit à Gaza, mais ils échouent largement”, souligne pour sa part Le New York Times.
À mi-chemin entre Woodstock et Intifada
Mercredi
L’université Columbia à New York, théâtre de manifestations pro-palestiniennes depuis près d’une semaine, “a annulé ses cours en présentiel le 22 avril.” Sur le campus de Yale, Connecticut, « La police a arrêté des dizaines de manifestants ; tandis que les étudiants pro-palestiniens ont commencé à installer des camps dans d’autres universités, notamment à Berkeley, en Californie. rapports Le Washington Post.
Les protestations contre la guerre menée par Israël à Gaza se sont en effet encore intensifiées dans de nombreuses universités aux États-Unis. Les étudiants multiplient leurs occupations en installant des tentes sur le campus, en perturbant les événements universitaires et en se faisant arrêter par la police. De quoi nourrir un « sentiment croissant de chaos et de répression » à la fin de l’année universitaire, note le journal de la capitale fédérale américaine.
De leur côté, “Les administrateurs de ces universités, dont certaines comptent parmi les plus prestigieuses du pays, tentent de calmer les esprits sur leurs campus déchirés par le conflit à Gaza, mais ils échouent largement”, souligne pour sa part Le New York Times.
À mi-chemin entre Woodstock et Intifada
Mercredi