Hier, après 51 jours d’attente, Emmanuel Macron a nommé Michel Barnier, 73 ans, au poste de Premier ministre. Cet ancien ministre et commissaire européen des Républicains doit désormais former un gouvernement capable de tenir à l’Assemblée nationale. La gauche promet une motion de censure, Renaissance promet de ne pas lui donner de chèque en blanc, tandis que son propre parti LR jubile sans se précipiter pour clarifier sa position. Les regards se sont surtout tournés vers le Rassemblement national, qui pour la première fois depuis le début des discussions, a accepté de ne pas censurer d’emblée Michel Barnier. Le parti de Marine Le Pen jugera sur les preuves. Pour en parler, notre invité Thomas Ménagé, député RN du Loiret.
Hier, après 51 jours d’attente, Emmanuel Macron a nommé Michel Barnier, 73 ans, au poste de Premier ministre. Cet ancien ministre et commissaire européen des Républicains doit désormais former un gouvernement capable de tenir à l’Assemblée nationale. La gauche promet une motion de censure, Renaissance promet de ne pas lui donner de chèque en blanc, tandis que son propre parti LR jubile sans se précipiter pour clarifier sa position. Les regards se sont surtout tournés vers le Rassemblement national, qui pour la première fois depuis le début des discussions, a accepté de ne pas censurer d’emblée Michel Barnier. Le parti de Marine Le Pen jugera sur les preuves. Pour en parler, notre invité Thomas Ménagé, député RN du Loiret.