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Durée de la vidéo : 2 minutes
Le Belem, qui accueille la flamme olympique, continue sa route vers Marseille (Bouches-du-Rhône) où il doit arriver le 8 mai. A bord du bateau, de nombreuses festivités ont eu lieu.
Ce matin du jeudi 2 mai, la houle a secoué Belem. L’équipe de France Télévisions participe aujourd’hui aux manœuvres. Sur le bateau, chacun contribue à tour de rôle. Il faut monter sur le mât. « Nous montons deux à trois fois par jour, aussi bien pour remettre les voiles que pour surveiller l’entretien du mât », explique Patrice Caherec, maître d’équipage de la Fondation Belem Caisse d’Épargne. Le premier niveau est situé à 15 mètres. « La peur n’est pas mauvaise. C’est aussi ce qui nous maintient en vie. Ce qui est dangereux, c’est l’excès de confiance là-haut.»confie Émile Beau, marin instructeur.
Une organisation précise
Des marins professionnels manœuvrent sur les vergues, les mâts horizontaux. Sur un bateau comme le Belem, il faut se dépasser. Parmi les 60 personnes à bord, il n’y a ni femme de ménage ni serveur pour les repas. Chaque membre dispose d’un numéro attribué, qui lui permet de connaître son programme.
Ce jour-là, l’équipe de France Télévisions doit servir le repas, une soupe aux champignons. Le service doit être ponctuel, car l’organisation est minutieuse. Après le service, dirigez-vous vers le pont pour un quart de nuit. Le groupe établit l’itinéraire sur la carte, tient la barre et surveille l’horizon.
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Le Belem, qui accueille la flamme olympique, continue sa route vers Marseille (Bouches-du-Rhône) où il doit arriver le 8 mai. A bord du bateau, de nombreuses festivités ont eu lieu.
Ce matin du jeudi 2 mai, la houle a secoué Belem. L’équipe de France Télévisions participe aujourd’hui aux manœuvres. Sur le bateau, chacun contribue à tour de rôle. Il faut monter sur le mât. « Nous montons deux à trois fois par jour, aussi bien pour remettre les voiles que pour surveiller l’entretien du mât », explique Patrice Caherec, maître d’équipage de la Fondation Belem Caisse d’Épargne. Le premier niveau est situé à 15 mètres. « La peur n’est pas mauvaise. C’est aussi ce qui nous maintient en vie. Ce qui est dangereux, c’est l’excès de confiance là-haut.»confie Émile Beau, marin instructeur.
Une organisation précise
Des marins professionnels manœuvrent sur les vergues, les mâts horizontaux. Sur un bateau comme le Belem, il faut se dépasser. Parmi les 60 personnes à bord, il n’y a ni femme de ménage ni serveur pour les repas. Chaque membre dispose d’un numéro attribué, qui lui permet de connaître son programme.
Ce jour-là, l’équipe de France Télévisions doit servir le repas, une soupe aux champignons. Le service doit être ponctuel, car l’organisation est minutieuse. Après le service, dirigez-vous vers le pont pour un quart de nuit. Le groupe établit l’itinéraire sur la carte, tient la barre et surveille l’horizon.