L’armée israélienne a revendiqué la responsabilité d’une frappe aérienne qui a entraîné la mort de Hussein Makki, commandant du Hezbollah, dans le sud du Liban, mardi 14 mai. Au cours des sept derniers mois, les violences transfrontalières ont fait au moins 413 morts côté libanais. et 24 du côté israélien.
Une frappe israélienne dans le sud Liban a tué un commandant du Hezbollah mardi soir, a affirmé mercredi l’armée israélienne. ” Un avion de l’armée de l’air israélienne frappé et éliminé » Hussein Makki dans la région de Tyr, a communiqué l’armée sur le réseau social Telegram, publiant une vidéo aérienne de l’explosion d’une voiture. M. Makki était un commandant du Hezbollah au sud du Liban, responsable de la préparation et de l’exécution de nombreuses attaques terroristes contre des civils et le territoire d’Israël », selon la même source.
Le groupe islamiste pro-iranien avait affirmé plus tôt que Hussein Makki, 55 ans, était « mort en martyr sur la route de Jérusalem », expression utilisée par l’organisation pour désigner ses membres tués par des tirs israéliens. L’agence de presse libanaise ANI avait indiqué de son côté qu’une frappe avait été menée par un drone israélien contre « une voiture sur la route principale de Tyr à Al-Hush » et avait « fait deux martyrs ».
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