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Durée de la vidéo : 2 minutes
Un enfant de trois ans est dĂ©cĂ©dĂ© du cholĂ©ra, mercredi 8 mai Ă Mayotte. Il s’agit du premier dĂ©cès depuis que la maladie a Ă©tĂ© dĂ©tectĂ©e. 58 cas ont Ă©tĂ© enregistrĂ©s. Le ministre de la SantĂ© s’est rendu sur place jeudi 9 mai.
MĂ©decins et infirmiers sont lĂ pour vacciner les habitants de Koungou (Mayotte). C’est dans ce bidonville qu’un enfant de trois ans est dĂ©cĂ©dĂ© mercredi 8 mai. Trois autres cas auraient Ă©tĂ© dĂ©tectĂ©s dans la matinĂ©e du jeudi 9 mai. Il n’y a pas d’eau courante, mĂŞme si la mairie a installĂ© des robinets flambant neufs en dernier lieu. semaine.
3 800 personnes ont été vaccinées
L’Ă©pidĂ©mie a dĂ©butĂ© en mars, notamment Ă partir des Comores voisines. Cela a encore affaibli un système de santĂ© dĂ©jĂ très prĂ©caire. “Il y a une immigration massive, dont beaucoup finissent dans les bidonvilles. C’est donc un terrain favorable Ă ce type d’épidĂ©mie. (…) Nos ressources humaines sont très faibles”, s’inquiète un mĂ©decin. Seules 3 800 personnes ont Ă©tĂ© vaccinĂ©es. Mais selon le ministre dĂ©lĂ©guĂ© Ă la SantĂ©, arrivĂ© Ă Mayotte jeudi 9 mai, l’Ă©pidĂ©mie est, pour le moment, sous contrĂ´le.
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Un enfant de trois ans est dĂ©cĂ©dĂ© du cholĂ©ra, mercredi 8 mai Ă Mayotte. Il s’agit du premier dĂ©cès depuis que la maladie a Ă©tĂ© dĂ©tectĂ©e. 58 cas ont Ă©tĂ© enregistrĂ©s. Le ministre de la SantĂ© s’est rendu sur place jeudi 9 mai.
MĂ©decins et infirmiers sont lĂ pour vacciner les habitants de Koungou (Mayotte). C’est dans ce bidonville qu’un enfant de trois ans est dĂ©cĂ©dĂ© mercredi 8 mai. Trois autres cas auraient Ă©tĂ© dĂ©tectĂ©s dans la matinĂ©e du jeudi 9 mai. Il n’y a pas d’eau courante, mĂŞme si la mairie a installĂ© des robinets flambant neufs en dernier lieu. semaine.
3 800 personnes ont été vaccinées
L’Ă©pidĂ©mie a dĂ©butĂ© en mars, notamment Ă partir des Comores voisines. Cela a encore affaibli un système de santĂ© dĂ©jĂ très prĂ©caire. “Il y a une immigration massive, dont beaucoup finissent dans les bidonvilles. C’est donc un terrain favorable Ă ce type d’épidĂ©mie. (…) Nos ressources humaines sont très faibles”, s’inquiète un mĂ©decin. Seules 3 800 personnes ont Ă©tĂ© vaccinĂ©es. Mais selon le ministre dĂ©lĂ©guĂ© Ă la SantĂ©, arrivĂ© Ă Mayotte jeudi 9 mai, l’Ă©pidĂ©mie est, pour le moment, sous contrĂ´le.