Selon la gendarmerie nationale, l’agent est décédé « lors d’un départ en mission, alors qu’une unité configurait un blindé à la caserne Bailly ».
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![Des policiers à Nouméa, en Nouvelle-Calédonie, le 14 mai 2024. (THEO ROUBY / AFP)](https://www.francetvinfo.fr/pictures/b0hNHY6_t7ftVKCZKEa0tge4H78/0x53:1024x629/432x243/2024/05/16/000-34rh6n7-6645e2179e710171261887.jpg)
Le bilan s’est alourdi à cinq morts depuis le début des émeutes lundi. Un gendarme a été tué jeudi 16 mai au matin en Nouvelle-Calédonie à la suite d’un « tir accidentel », a annoncé le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin à l’AFP. Le locataire de la place Beauvau a exprimé « tout son soutien à la famille, aux proches et aux camarades » de la victime.
Dans son message, le ministre, qui a exprimé son « une grande tristesse »explique cela « le décès serait dû à des blessures causées par un tir accidentel, alors que les gendarmes étaient occupés à effectuer une mission de sécurité ». La gendarmerie précise dans un message sur le réseau social que l’agent est mort « lors d’un départ en mission, alors qu’une unité configurait un véhicule blindé ».
Un premier militaire âgé de 22 ans, de l’escadron mobile de gendarmerie de Melun (Seine-et-Marne), est décédé mercredi en Nouvelle-Calédonie, près de Nouméa, victime d’une balle dans la tête. Trois jeunes Calédoniens ont également été tués lors des violences qui ravagent l’archipel depuis plusieurs jours.