« Un Requiem pour les pirates. » Pour le site conservateur Echo24.cz, pas mécontent de voir « un de ces mouvements utopiques qui réapparaissent régulièrement dans l’histoire » dégager le sol est « une triste fin » pour un parti qui avait pourtant réussi, au cours des dix dernières années, à attirer un électorat essentiellement jeune, urbain et libéral suffisamment fort pour accéder au Parlement puis au gouvernement. Ce sont autant de premières historiques pour un Parti pirate en Europe. Mais c’est aussi un parti, note-t-on. Echo24.cz, pour qui « Presque tout était censé être résolu par la numérisation, la transparence, les logiciels de pointe et la légalisation du cannabis. »
Ainsi, alors qu’à l’automne 2021, à l’approche des élections législatives, l’hebdomadaire libéral Respect Les Pirates s’imaginaient qu’Ivan Bartos, leur leader emblématique aux éternelles dreadlocks, pourrait prendre la place du milliardaire Andrej Babis au poste de Premier ministre, trois ans plus tard, ce n’est plus le cas. Mercredi 25 septembre, quatre jours après des élections régionales au cours desquelles ils ont perdu 96 des 99 sièges de conseillers qu’ils avaient obtenus quatre ans plus tôt, le même Ivan Bartos a annoncé que les Pirates quitteraient bientôt le gouvernement.
Un an
« Un Requiem pour les pirates. » Pour le site conservateur Echo24.cz, pas mécontent de voir « un de ces mouvements utopiques qui réapparaissent régulièrement dans l’histoire » dégager le sol est « une triste fin » pour un parti qui avait pourtant réussi, au cours des dix dernières années, à attirer un électorat essentiellement jeune, urbain et libéral suffisamment fort pour accéder au Parlement puis au gouvernement. Ce sont autant de premières historiques pour un Parti pirate en Europe. Mais c’est aussi un parti, note-t-on. Echo24.cz, pour qui « Presque tout était censé être résolu par la numérisation, la transparence, les logiciels de pointe et la légalisation du cannabis. »
Ainsi, alors qu’à l’automne 2021, à l’approche des élections législatives, l’hebdomadaire libéral Respect Les Pirates s’imaginaient qu’Ivan Bartos, leur leader emblématique aux éternelles dreadlocks, pourrait prendre la place du milliardaire Andrej Babis au poste de Premier ministre, trois ans plus tard, ce n’est plus le cas. Mercredi 25 septembre, quatre jours après des élections régionales au cours desquelles ils ont perdu 96 des 99 sièges de conseillers qu’ils avaient obtenus quatre ans plus tôt, le même Ivan Bartos a annoncé que les Pirates quitteraient bientôt le gouvernement.
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