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Durée de la vidéo : 2 minutes
Alors que d’importantes modifications du droit de vote sont envisagées en Nouvelle-Calédonie, où les personnes arrivées après 1998 ne peuvent pas voter aux élections provinciales, les séparatistes s’opposent fermement à cette idée. Mardi, l’Assemblée nationale a adopté le projet de révision constitutionnelle.
Toutes les personnes arrivées après 1998 ne peuvent pas voter aux élections provinciales, soit près d’un électeur sur cinq en Nouvelle-Calédonie. Le gouvernement envisage néanmoins d’ouvrir le droit électoral à toutes les personnes qui y résident depuis au moins dix ans.
« En France, nous avons des citoyens français qui vivent en Nouvelle-Calédonie depuis vingt-cinq ans et qui ne peuvent toujours pas participer aux élections territoriales. Nous ne pouvons pas accepter une telle injustice sur le territoire français »tance Gil Brial, porte-parole des Loyalistes et vice-président de la province Sud.
Problème : les indépendantistes s’opposent au projet. Ils craignent que la réforme donne moins d’espace au peuple kanak autonome qui représente 41% de la population de l’archipel. En France métropolitaine, le gouvernement tergiverse. Mardi 14 mai, l’Assemblée nationale a adopté le projet. Le Congrès sera convoqué à Versailles pour adopter la réforme constitutionnelle.
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Alors que d’importantes modifications du droit de vote sont envisagées en Nouvelle-Calédonie, où les personnes arrivées après 1998 ne peuvent pas voter aux élections provinciales, les séparatistes s’opposent fermement à cette idée. Mardi, l’Assemblée nationale a adopté le projet de révision constitutionnelle.
Toutes les personnes arrivées après 1998 ne peuvent pas voter aux élections provinciales, soit près d’un électeur sur cinq en Nouvelle-Calédonie. Le gouvernement envisage néanmoins d’ouvrir le droit électoral à toutes les personnes qui y résident depuis au moins dix ans.
« En France, nous avons des citoyens français qui vivent en Nouvelle-Calédonie depuis vingt-cinq ans et qui ne peuvent toujours pas participer aux élections territoriales. Nous ne pouvons pas accepter une telle injustice sur le territoire français »tance Gil Brial, porte-parole des Loyalistes et vice-président de la province Sud.
Problème : les indépendantistes s’opposent au projet. Ils craignent que la réforme donne moins d’espace au peuple kanak autonome qui représente 41% de la population de l’archipel. En France métropolitaine, le gouvernement tergiverse. Mardi 14 mai, l’Assemblée nationale a adopté le projet. Le Congrès sera convoqué à Versailles pour adopter la réforme constitutionnelle.