Un quatrième Américain a été arrêté à Caracas pour un complot visant à déstabiliser le président Nicolas Maduro, a déclaré mardi 17 septembre le ministre vénézuélien de l’Intérieur, Diosdado Cabello. “Un autre citoyen d’origine nord-américaine a été capturé (…), nous le suivions, il a été capturé ici à Caracas en train de prendre des photos d’installations électriques, d’installations pétrolières, d’unités militaires”Cabello a déclaré devant le Parlement. « Soyez sûr qu’il fait partie du complot contre le Venezuela. »
Les autorités vénézuéliennes ont annoncé samedi l’arrestation de trois Américains, deux Espagnols et un Tchèque, affirmant avoir saisi quelque 400 fusils en provenance des États-Unis. Le ministre vénézuélien de l’Intérieur avait alors évoqué un plan visant à « générer de la violence » et à « déstabiliser » le pays.
Washington, Madrid et Prague réclament des informations sur leurs ressortissants détenus au Venezuela. Ces arrestations interviennent dans un contexte de tensions accrues entre le Venezuela et les Etats-Unis, ainsi qu’avec l’Espagne, au sujet de l’élection contestée du président Maduro. Les pays de l’Union européenne refusent jusqu’à présent de reconnaître un vainqueur, tandis que Washington a reconnu Edmundo Gonzalez Urrutia. Menacé de prison dans son pays, il est en exil depuis une semaine en Espagne, qui lui a accordé l’asile.
Un quatrième Américain a été arrêté à Caracas pour un complot visant à déstabiliser le président Nicolas Maduro, a déclaré mardi 17 septembre le ministre vénézuélien de l’Intérieur, Diosdado Cabello. “Un autre citoyen d’origine nord-américaine a été capturé (…), nous le suivions, il a été capturé ici à Caracas en train de prendre des photos d’installations électriques, d’installations pétrolières, d’unités militaires”Cabello a déclaré devant le Parlement. « Soyez sûr qu’il fait partie du complot contre le Venezuela. »
Les autorités vénézuéliennes ont annoncé samedi l’arrestation de trois Américains, deux Espagnols et un Tchèque, affirmant avoir saisi quelque 400 fusils en provenance des États-Unis. Le ministre vénézuélien de l’Intérieur avait alors évoqué un plan visant à « générer de la violence » et à « déstabiliser » le pays.
Washington, Madrid et Prague réclament des informations sur leurs ressortissants détenus au Venezuela. Ces arrestations interviennent dans un contexte de tensions accrues entre le Venezuela et les Etats-Unis, ainsi qu’avec l’Espagne, au sujet de l’élection contestée du président Maduro. Les pays de l’Union européenne refusent jusqu’à présent de reconnaître un vainqueur, tandis que Washington a reconnu Edmundo Gonzalez Urrutia. Menacé de prison dans son pays, il est en exil depuis une semaine en Espagne, qui lui a accordé l’asile.