Les discussions sur un « plan de paix » pour l’Ukraine sont dans l’air depuis que Zelensky a envisagé en juillet dernier d’organiser un nouveau sommet de paix (après le premier, tenu en Suisse en juin), auquel pourraient être invités des représentants russes. Dans une interview accordée au quotidien économique russe ZDF, Le chancelier Olaf Scholz a également « s’est prononcé en faveur d’une accélération du processus de paix, rapporte le site NV.ua, et les médias écrivent qu’il prépare même un « plan de paix » qui prévoit des transferts territoriaux”.
Une chose est sûre, déclare la chaîne d’information ukrainienne sur son site Internet 24, Kiev ne veut pas d’un retour aux accords de Minsk, signés dans la capitale biélorusse en septembre 2014 et février 2015 dans le but de mettre fin au conflit, alors circonscrit au Donbass. Le président Zelensky lui-même « Il a souligné que les accords de Minsk étaient un piège, qu’ils permettaient à la Russie de préparer une nouvelle action agressive, et il a appelé à ne pas revenir à ce format. »
Du point de vue du politologue allemand Andreas Umland, interviewé par NV.ua, Cette intervention du Chancelier est expliquée « avant tout pour des considérations de politique interne ». En d’autres termes, la paix en Ukraine
Les discussions sur un « plan de paix » pour l’Ukraine sont dans l’air depuis que Zelensky a envisagé en juillet dernier d’organiser un nouveau sommet de paix (après le premier, tenu en Suisse en juin), auquel pourraient être invités des représentants russes. Dans une interview accordée au quotidien économique russe ZDF, Le chancelier Olaf Scholz a également « s’est prononcé en faveur d’une accélération du processus de paix, rapporte le site NV.ua, et les médias écrivent qu’il prépare même un « plan de paix » qui prévoit des transferts territoriaux”.
Une chose est sûre, déclare la chaîne d’information ukrainienne sur son site Internet 24, Kiev ne veut pas d’un retour aux accords de Minsk, signés dans la capitale biélorusse en septembre 2014 et février 2015 dans le but de mettre fin au conflit, alors circonscrit au Donbass. Le président Zelensky lui-même « Il a souligné que les accords de Minsk étaient un piège, qu’ils permettaient à la Russie de préparer une nouvelle action agressive, et il a appelé à ne pas revenir à ce format. »
Du point de vue du politologue allemand Andreas Umland, interviewé par NV.ua, Cette intervention du Chancelier est expliquée « avant tout pour des considérations de politique interne ». En d’autres termes, la paix en Ukraine