«C’était un coup dur pour l’équilibre de nos institutions, et par rapport à l’extrême droite», a commenté Yannick Jadot ce lundi soir auprès de Public Sénat. Il explique : « Depuis des mois et des mois, il y a une stratégie d’apaisement de la part du pouvoir et particulièrement du président de la République à l’égard des idées de l’extrême droite, alors même qu’il a été élu pour bloquer, pour faire office de porte-parole. barrière, on l’a vu sur le droit de l’immigration. Là, tout d’un coup, il se soumet à des vœux auxquels l’extrême droite ne croyait même pas, c’est-à-dire qu’il avance par orgueil, par immaturité, par dépit, à propos de la soirée de défaite de dimanche, dans un Elections européennes, il met l’Assemblée nationale à portée de tir, à portée de canon de l’extrême droite. C’est donc un pari extrêmement dangereux pour notre pays, extrêmement dangereux pour l’Europe car la France n’est pas n’importe quel pays d’Europe, donc de notre côté il va falloir déjouer ce scénario désastreux. . »
«Portez un front républicain»
« Toutes les forces de gauche et les écologistes doivent se rassembler », plaide Yannick Jadot. Il explique qu’il faut se rassembler « pour apporter l’espoir à ce pays, pour amener un front républicain, un front populaire écologique contre l’extrême droite, car on voit bien que la Macronie est discréditée, disqualifiée et qu’il faut porter un projet qui nous maintient dans les valeurs de la République, dans les valeurs, les principes de la démocratie. »
Sur quelles bases former une alliance avec la gauche ?
“Il y a deux enjeux dans un accord : c’est un accord électoral, donc il va falloir évidemment renouveler les titulaires, peut-être faire quelques ajustements dans certaines circonscriptions pour que chacun puisse s’y retrouver, mais il faut rééquilibrer politiquement l’accord de cette coalition. Cela ne peut plus être la situation de 2022, c’est une situation nouvelle et je pense qu’il ne faut pas insister pour vouloir faire 400 pages d’accord en quelques jours. Parce qu’il ne reste que quelques jours. Il faut se mettre d’accord sur une dizaine de grandes propositions qui gouverneraient le pays avec cette coalition pour les 2 prochaines années. »
«C’était un coup dur pour l’équilibre de nos institutions, et par rapport à l’extrême droite», a commenté Yannick Jadot ce lundi soir auprès de Public Sénat. Il explique : « Depuis des mois et des mois, il y a une stratégie d’apaisement de la part du pouvoir et particulièrement du président de la République à l’égard des idées de l’extrême droite, alors même qu’il a été élu pour bloquer, pour faire office de porte-parole. barrière, on l’a vu sur le droit de l’immigration. Là, tout d’un coup, il se soumet à des vœux auxquels l’extrême droite ne croyait même pas, c’est-à-dire qu’il avance par orgueil, par immaturité, par dépit, à propos de la soirée de défaite de dimanche, dans un Elections européennes, il met l’Assemblée nationale à portée de tir, à portée de canon de l’extrême droite. C’est donc un pari extrêmement dangereux pour notre pays, extrêmement dangereux pour l’Europe car la France n’est pas n’importe quel pays d’Europe, donc de notre côté il va falloir déjouer ce scénario désastreux. . »
«Portez un front républicain»
« Toutes les forces de gauche et les écologistes doivent se rassembler », plaide Yannick Jadot. Il explique qu’il faut se rassembler « pour apporter l’espoir à ce pays, pour amener un front républicain, un front populaire écologique contre l’extrême droite, car on voit bien que la Macronie est discréditée, disqualifiée et qu’il faut porter un projet qui nous maintient dans les valeurs de la République, dans les valeurs, les principes de la démocratie. »
Sur quelles bases former une alliance avec la gauche ?
“Il y a deux enjeux dans un accord : c’est un accord électoral, donc il va falloir évidemment renouveler les titulaires, peut-être faire quelques ajustements dans certaines circonscriptions pour que chacun puisse s’y retrouver, mais il faut rééquilibrer politiquement l’accord de cette coalition. Cela ne peut plus être la situation de 2022, c’est une situation nouvelle et je pense qu’il ne faut pas insister pour vouloir faire 400 pages d’accord en quelques jours. Parce qu’il ne reste que quelques jours. Il faut se mettre d’accord sur une dizaine de grandes propositions qui gouverneraient le pays avec cette coalition pour les 2 prochaines années. »