« Certes, Evo Morales a des qualités de leadership indiscutables, mais il a fini par croire qu’il est le seul maître de la transformation (de la Bolivie)écrit le quotidien de centre-gauche La raison. A tel point qu’un de ses anciens ministres a même dit qu’il avait un pouvoir surnaturel digne d’un messie.
Ce commentaire résume la crise politique que traverse le pays andin. Une crise qui a atteint son paroxysme mardi 17 septembre, lorsque des milliers de partisans de l’ancien président Evo Morales (2006-2019) ont entamé une longue marche vers La Paz, la plus grande ville du pays et siège du gouvernement – même si elle n’est pas la capitale (Sucre). La « Marche pour sauver la Bolivie » doit arriver à La Paz lundi 23 septembre. Le site Le Pays d’Amérique en écrivant :
« Ce qui est en jeu, c’est une lutte pour le pouvoir. »
Il s’agit d’une confrontation entre deux anciens alliés politiques mais aujourd’hui
« Certes, Evo Morales a des qualités de leadership indiscutables, mais il a fini par croire qu’il est le seul maître de la transformation (de la Bolivie)écrit le quotidien de centre-gauche La raison. A tel point qu’un de ses anciens ministres a même dit qu’il avait un pouvoir surnaturel digne d’un messie.
Ce commentaire résume la crise politique que traverse le pays andin. Une crise qui a atteint son paroxysme mardi 17 septembre, lorsque des milliers de partisans de l’ancien président Evo Morales (2006-2019) ont entamé une longue marche vers La Paz, la plus grande ville du pays et siège du gouvernement – même si elle n’est pas la capitale (Sucre). La « Marche pour sauver la Bolivie » doit arriver à La Paz lundi 23 septembre. Le site Le Pays d’Amérique en écrivant :
« Ce qui est en jeu, c’est une lutte pour le pouvoir. »
Il s’agit d’une confrontation entre deux anciens alliés politiques mais aujourd’hui