L’écart salarial entre les hommes et les femmes est encore trop important, selon l’Union européenne (UE), qui entend remédier à ce problème avec une nouvelle directive qui nécessite quelques ajustements à la législation suédoise. « Il s’agit de mettre l’employeur et l’employé sur un pied d’égalité en termes d’informations disponibles », résume Erik Adell Hellström du ministère du Travail.
La question piège du salaire
Vous est-il déjà arrivé de vous faire demander combien vous gagnez lors d’un entretien d’embauche ? En plus d’être gênante, cette question peut également vous placer en bas de l’échelle salariale si vous avez de faibles revenus. Cette pratique ne sera bientôt plus autorisée. Une nouvelle directive vise à réduire la discrimination salariale dans l’UE en rendant plus transparente la manière dont les salaires sont déterminés.
La directive en question est motivée par ce qu’on appelle parfois une « écart salarial inexpliqué ». Bien que la discrimination salariale fondée sur le sexe soit interdite depuis longtemps dans l’UE, les chiffres montrent que les hommes gagnent en moyenne 13 % de plus que les femmes. Au fil du temps, cet écart se traduit par une qualité de vie moindre pour les femmes, un risque plus élevé de tomber dans la pauvreté et un risque plus élevé de chômage.
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Source de l’article
Fondé en 1864, c’est le premier quotidien matinal libéral. Sa page 6 est célèbre pour les grands débats d’actualité. « Les Nouvelles du jour » appartient au groupe Bonnier, le plus grand éditeur et propriétaire de journaux en Suède. Le titre est passé au format tabloïd en 2004.
Au milieu des années 2010, le journal était au bord de la faillite. Ses ventes papier avaient chuté de près de 120 000 exemplaires en 15 ans, et le titre ne comptait que 2 000 abonnés numériques. Il a su rebondir grâce à une stratégie agressive et innovante sur les réseaux sociaux. Son contenu n’y est pas disponible, mais les journalistes ont été encouragés à chercher des idées et des histoires sur Instagram et Facebook, ainsi qu’à multiplier les interactions avec les lecteurs. En 2019, cette approche avait attiré 160 000 abonnés numériques, tandis que 170 000 autres personnes avaient souscrit à un abonnement combiné papier et web.
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La directive en question est motivée par ce qu’on appelle parfois une « écart salarial inexpliqué ». Bien que la discrimination salariale fondée sur le sexe soit interdite depuis longtemps dans l’UE, les chiffres montrent que les hommes gagnent en moyenne 13 % de plus que les femmes. Au fil du temps, cet écart se traduit par une qualité de vie moindre pour les femmes, un risque plus élevé de tomber dans la pauvreté et un risque plus élevé de chômage.
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Fondé en 1864, c’est le premier quotidien matinal libéral. Sa page 6 est célèbre pour les grands débats d’actualité. « Les Nouvelles du jour » appartient au groupe Bonnier, le plus grand éditeur et propriétaire de journaux en Suède. Le titre est passé au format tabloïd en 2004.
Au milieu des années 2010, le journal était au bord de la faillite. Ses ventes papier avaient chuté de près de 120 000 exemplaires en 15 ans, et le titre ne comptait que 2 000 abonnés numériques. Il a su rebondir grâce à une stratégie agressive et innovante sur les réseaux sociaux. Son contenu n’y est pas disponible, mais les journalistes ont été encouragés à chercher des idées et des histoires sur Instagram et Facebook, ainsi qu’à multiplier les interactions avec les lecteurs. En 2019, cette approche avait attiré 160 000 abonnés numériques, tandis que 170 000 autres personnes avaient souscrit à un abonnement combiné papier et web.
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