Publié
Durée de la vidéo : 4 minutes
Une semaine s’est écoulée depuis que Belem a quitté la Grèce, vendredi 3 mai. A bord, les équipes de France Télévisions tiennent compagnie aux marins avant d’arriver à Marseille (Bouches-du-Rhône).
Sept jours après avoir quitté les côtes grecques, le trois-mâts ne connaît pas de répit et fend les vagues d’une mer déchaînée. Pour faire face à ces conditions, le capitaine a ordonné à l’équipage de rentrer les voiles sous la pluie. “C’est très fatiguant, c’est physique de fou et c’est du sport mais ce n’est pas grave, on garde le sourire”, raconte la navigatrice stagiaire Clara Labruyère. Avant le vendredi 3 mai, le Belem naviguait sur une mer Méditerranée calme.
Le 61ème passager
Un soleil radieux, des paysages paradisiaques, le canal de Corinthe en Grèce, l’escorte de la marine italienne dans le détroit de Messine et le buffet du commandant mercredi, face au Stromboli. Sur le Belem, la flamme est immortalisée lors d’instants magiques, sur un ancien instrument de navigation ou en haut du grand mât. Les trois gardiens l’emmènent partout avec eux. A midi et soir, la flamme descend même dans la salle à manger. “C’est une petite mascotte”note le médecin du bord.
Les douze jours de voyage sont longs, alors les jeunes marins stagiaires découvrent un nouveau rapport au temps. Heureusement, ils sont à Belem comme le poisson dans l’eau et le groupe vit bien, comme peuvent le dire les footballeurs dans les interviews. Dans cinq jours, à son arrivée à Marseille, la flamme quittera le navire pour traverser la France. L’équipage sera dépossédé ; mais les 60 marins du Belem resteront toujours liés à ce lumineux 61ème passager.
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Une semaine s’est écoulée depuis que Belem a quitté la Grèce, vendredi 3 mai. A bord, les équipes de France Télévisions tiennent compagnie aux marins avant d’arriver à Marseille (Bouches-du-Rhône).
Sept jours après avoir quitté les côtes grecques, le trois-mâts ne connaît pas de répit et fend les vagues d’une mer déchaînée. Pour faire face à ces conditions, le capitaine a ordonné à l’équipage de rentrer les voiles sous la pluie. “C’est très fatiguant, c’est physique de fou et c’est du sport mais ce n’est pas grave, on garde le sourire”, raconte la navigatrice stagiaire Clara Labruyère. Avant le vendredi 3 mai, le Belem naviguait sur une mer Méditerranée calme.
Le 61ème passager
Un soleil radieux, des paysages paradisiaques, le canal de Corinthe en Grèce, l’escorte de la marine italienne dans le détroit de Messine et le buffet du commandant mercredi, face au Stromboli. Sur le Belem, la flamme est immortalisée lors d’instants magiques, sur un ancien instrument de navigation ou en haut du grand mât. Les trois gardiens l’emmènent partout avec eux. A midi et soir, la flamme descend même dans la salle à manger. “C’est une petite mascotte”note le médecin du bord.
Les douze jours de voyage sont longs, alors les jeunes marins stagiaires découvrent un nouveau rapport au temps. Heureusement, ils sont à Belem comme le poisson dans l’eau et le groupe vit bien, comme peuvent le dire les footballeurs dans les interviews. Dans cinq jours, à son arrivée à Marseille, la flamme quittera le navire pour traverser la France. L’équipage sera dépossédé ; mais les 60 marins du Belem resteront toujours liés à ce lumineux 61ème passager.