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Durée de la vidéo : 2 minutes
Un incendie criminel dans un entrepôt de la marque d’eau en bouteille Volvic a provoqué l’arrêt de la production dans la commune du même nom, située dans le Puy-de-Dôme. Les auteurs pourraient faire des allégations écologiques, alors que l’impact environnemental de l’entreprise est souvent pointé du doigt.
6 lignes de production d’eau sont toujours à l’arrêt, dans un entrepôt de la marque Volvic, dans la commune du même numérom, situé dans le Puy-de-Dôme. Des millions de mison en bouteille sont stoppés nets suite à un incendie criminel dans un local technique hautement surveillé. Les dégâts sont considérables. “L’événement s’est produit dans la nuit de mardi 30 avril à mercredi 1er mai. Lorsque cela s’est produit, l’usine a été fermée, en vue du 1er mai.“, explique Emmanuel Gérardin, directeur de la Compagnie des Eaux de Volvic. Elle n’a finalement pas pu redémarrer.
Une revendication écologique ?
Selon les premiers éléments de l’enquête, deux hommes masqués, aperçus sur les caméras de surveillance, seraient à l’origine de l’incendie. Avant de partir, ils ont laissé une étiquette qui pourrait constituer une revendication écologique, tandis que des associations dénoncent l’impact environnemental de Volvic. L’entreprise est notamment accusée d’assécher les cours d’eau environnants.
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Un incendie criminel dans un entrepôt de la marque d’eau en bouteille Volvic a provoqué l’arrêt de la production dans la commune du même nom, située dans le Puy-de-Dôme. Les auteurs pourraient faire des allégations écologiques, alors que l’impact environnemental de l’entreprise est souvent pointé du doigt.
6 lignes de production d’eau sont toujours à l’arrêt, dans un entrepôt de la marque Volvic, dans la commune du même numérom, situé dans le Puy-de-Dôme. Des millions de mison en bouteille sont stoppés nets suite à un incendie criminel dans un local technique hautement surveillé. Les dégâts sont considérables. “L’événement s’est produit dans la nuit de mardi 30 avril à mercredi 1er mai. Lorsque cela s’est produit, l’usine a été fermée, en vue du 1er mai.“, explique Emmanuel Gérardin, directeur de la Compagnie des Eaux de Volvic. Elle n’a finalement pas pu redémarrer.
Une revendication écologique ?
Selon les premiers éléments de l’enquête, deux hommes masqués, aperçus sur les caméras de surveillance, seraient à l’origine de l’incendie. Avant de partir, ils ont laissé une étiquette qui pourrait constituer une revendication écologique, tandis que des associations dénoncent l’impact environnemental de Volvic. L’entreprise est notamment accusée d’assécher les cours d’eau environnants.