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Durée de la vidéo : 4 minutes
“On a l’impression de vivre hors du temps.” Grâce au Pass Culture, ces huit adolescents, âgés de 18 à 20 ans, vivent leur premier Festival de Cannes. Projections, rencontres, montée des marches… Brut les a suivis pendant une journée.
Tout a commencé par une lettre de motivation. « On y met tout » commente l’un des participants. Ils sont huit à avoir été sélectionnés parmi 5 000 personnes à travers la France pour faire partie des chanceux à pouvoir participer au Festival de Cannes 2024. “Pour moi, le cinéma, c’est avant tout un moment de partage en famille, on se retrouve, on est sur le canapé. Et on partage un moment ensemble et on débat et on profite de quoi. Et donc c’est ce qu’on fait là.” avec d’autres personnes, d’autres jeunes”, fait remarquer Ève.
Le programme était bien rempli, avec des rendez-vous « à partir de 8 heures du matin » et projections jusqu’en fin de journée. Les journées ont été rythmées par des rencontres, des échanges et des invitations à des projections spéciales, comme celle du film « Les Fantômes ».
Ce premier Festival de Cannes a été une véritable source d’inspiration pour ces jeunes passionnés de cinéma. La rencontre avec la journaliste cinéma Perrine Quennesson, notamment, a marqué Eve : « Rien que notre rencontre avec Perrine Quennesson m’a vraiment donné envie de faire ça car elle est totalement libre dans son métier, elle est indépendante et son métier est extrêmement diversifié. Elle fait toujours ce qu’elle veut.”
La découverte du Festival a aussi été l’occasion pour ces jeunes de découvrir les codes de l’événement. Oscar, étudiant, raconte son anecdote sur la montée des escaliers : “Au début je suis arrivée à Cannes, je n’avais ni papillon ni chaussures, donc j’ai failli arriver à la première montée en talons, parce que je me suis dit, pas le choix, pour l’anecdote autant mettre des talons, comme dans A la fin, je n’y croyais pas vraiment, alors je suis quand même allé acheter des chaussures.”
Même s’ils ne se connaissaient pas auparavant, le groupe s’est tout de suite entendu. “Nous nous sommes rencontrés le jour de notre arrivée à la gare et tout de suite, ce fut un grand match”, se réjouit Ève. Malgré quelques petits stress, comme enfiler une robe et se faire engueuler par un paparazzi, l’expérience a été concluante pour ces jeunes cinéphiles. Un premier Festival de Cannes inoubliable qui leur donne déjà envie d’en vivre d’autres.
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“On a l’impression de vivre hors du temps.” Grâce au Pass Culture, ces huit adolescents, âgés de 18 à 20 ans, vivent leur premier Festival de Cannes. Projections, rencontres, montée des marches… Brut les a suivis pendant une journée.
Tout a commencé par une lettre de motivation. « On y met tout » commente l’un des participants. Ils sont huit à avoir été sélectionnés parmi 5 000 personnes à travers la France pour faire partie des chanceux à pouvoir participer au Festival de Cannes 2024. “Pour moi, le cinéma, c’est avant tout un moment de partage en famille, on se retrouve, on est sur le canapé. Et on partage un moment ensemble et on débat et on profite de quoi. Et donc c’est ce qu’on fait là.” avec d’autres personnes, d’autres jeunes”, fait remarquer Ève.
Le programme était bien rempli, avec des rendez-vous « à partir de 8 heures du matin » et projections jusqu’en fin de journée. Les journées ont été rythmées par des rencontres, des échanges et des invitations à des projections spéciales, comme celle du film « Les Fantômes ».
Ce premier Festival de Cannes a été une véritable source d’inspiration pour ces jeunes passionnés de cinéma. La rencontre avec la journaliste cinéma Perrine Quennesson, notamment, a marqué Eve : « Rien que notre rencontre avec Perrine Quennesson m’a vraiment donné envie de faire ça car elle est totalement libre dans son métier, elle est indépendante et son métier est extrêmement diversifié. Elle fait toujours ce qu’elle veut.”
La découverte du Festival a aussi été l’occasion pour ces jeunes de découvrir les codes de l’événement. Oscar, étudiant, raconte son anecdote sur la montée des escaliers : “Au début je suis arrivée à Cannes, je n’avais ni papillon ni chaussures, donc j’ai failli arriver à la première montée en talons, parce que je me suis dit, pas le choix, pour l’anecdote autant mettre des talons, comme dans A la fin, je n’y croyais pas vraiment, alors je suis quand même allé acheter des chaussures.”
Même s’ils ne se connaissaient pas auparavant, le groupe s’est tout de suite entendu. “Nous nous sommes rencontrés le jour de notre arrivée à la gare et tout de suite, ce fut un grand match”, se réjouit Ève. Malgré quelques petits stress, comme enfiler une robe et se faire engueuler par un paparazzi, l’expérience a été concluante pour ces jeunes cinéphiles. Un premier Festival de Cannes inoubliable qui leur donne déjà envie d’en vivre d’autres.