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Durée de la vidéo : 2 minutes
Les éclairs et les orages ont été nombreux mercredi 1er mai en Île-de-France. Une quarantaine de vols ont dû être détournés des aéroports d’Orly et de Roissy.
La Tour Eiffel a été frappée par la foudre dans la soirée du mercredi 1er mai. La foudre a illuminé les plus beaux monuments de Paris. C’est pourtant depuis le ciel que l’on peut mesurer l’ampleur des tempêtes. Dans les airs, le spectacle était effrayant pour les passagers. 5 000 éclairs ont été recensés rien qu’en Île-de-France. 40 vols ont dû être détournés. De la grêle s’est ajoutée aux éclairs, formant des plaques de glace sur le tarmac de l’aéroport de Roissy.
Pluie dans les terminaux de Roissy
Le mauvais temps était tel qu’il a même plu dans les terminaux. Sur les routes, la circulation a été perturbée. La Seine-et-Marne et le Val-d’Oise ont été particulièrement touchés, avec des rues impraticables et des rivières chargées de boue. Dans la matinée à Fosses (Val-d’Oise), les grêlons mêlés à la terre n’avaient toujours pas fondu. Venant des champs, une coulée de boue a traversé une bonne partie du village, emportant avec elle terre et pierres.
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Les éclairs et les orages ont été nombreux mercredi 1er mai en Île-de-France. Une quarantaine de vols ont dû être détournés des aéroports d’Orly et de Roissy.
La Tour Eiffel a été frappée par la foudre dans la soirée du mercredi 1er mai. La foudre a illuminé les plus beaux monuments de Paris. C’est pourtant depuis le ciel que l’on peut mesurer l’ampleur des tempêtes. Dans les airs, le spectacle était effrayant pour les passagers. 5 000 éclairs ont été recensés rien qu’en Île-de-France. 40 vols ont dû être détournés. De la grêle s’est ajoutée aux éclairs, formant des plaques de glace sur le tarmac de l’aéroport de Roissy.
Pluie dans les terminaux de Roissy
Le mauvais temps était tel qu’il a même plu dans les terminaux. Sur les routes, la circulation a été perturbée. La Seine-et-Marne et le Val-d’Oise ont été particulièrement touchés, avec des rues impraticables et des rivières chargées de boue. Dans la matinée à Fosses (Val-d’Oise), les grêlons mêlés à la terre n’avaient toujours pas fondu. Venant des champs, une coulée de boue a traversé une bonne partie du village, emportant avec elle terre et pierres.