Par Actualités éditoriales
Publié le
28 avril 24 à 22h36
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Dormir ensemble est le signe de l’amour. Ou du moins, c’est agréable quand on en aime un autre. C’est pourquoi une majorité de couples partagent une chambre et un lit. S’endormir dans les bras l’un de l’autre, dormir en se tenant la main ou simplement ressentir la présence de l’être cher contribue à produire des hormones de bien-être telles que l’ocytocine et les endorphines. Ce qui contribue à un bon sommeil.
Mal dormir, l’argument principal
Mais parfois l’idée d’avoir une pièce séparée peut émerger. « Elle est plus fréquemment pratiquée par des retraités, afin de se créer un espace de liberté nocturne et d’échapper aux désagréments du lit partagé, comme le ronflement par exemple », constate Olivia Benhamou, psychologue clinicienne, psychothérapeute individuelle et de couple et sexologue. . Mal dormir est en effet l’un des arguments en faveur de la séparation des zones de couchage.
Et « il est important d’être libre de dire à l’autre si c’est une épreuve de coucher ensemble », estime-t-elle.
Le problème d’un homme riche
Or, la possibilité même d’avoir sa propre chambre ne concerne que ceux qui en ont les moyens matériels. Dans ce cas, le sommeil peut être amélioré. Et cela peut aussi devenir un jeu qui crée du manque, brise la routine et peut aussi raviver le désir. Parce que l’intimité et la sexualité ne se limitent pas à la chambre.
Avoir une chambre séparée n’est donc pas forcément synonyme de renoncer à l’intimité physique partagée.
Pour que ce changement d’habitude n’entraîne pas de distance pour le couple, il est important de communiquer sur tous les aspects que cela implique. Rappelez à l’autre si c’est votre initiative, que ce souhait ne vient pas d’un manque de désir charnel et/ou d’un désir d’intimité. Et il est essentiel de se réserver du temps pour l’intimité en couple.
Avec Destination Santé
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