Normalement, le contenu des discussions lors des réunions du Conseil de sécurité russe reste confidentiel – surtout lorsque le sujet concerne la dissuasion nucléaire, comme l’a précisé le porte-parole présidentiel, Dmitri Peskov, dans la matinée du 25 septembre. Interrogé par le quotidien Kommersant, il n’a pas souhaité donner plus de détails. Mais, aux yeux des médias russes, plusieurs signes annonçaient déjà que la session de mercredi du Conseil de sécurité n’allait pas être comme les autres. Tout d’abord, elle allait se tenir « en personne », au Kremlin, et non par visioconférence comme c’est de plus en plus souvent le cas, et ensuite, Vladimir Poutine lui-même allait prendre la parole le premier.
Finalement, cette réunion allait être retransmise en direct par la télévision d’État, ce qui, comme le rappelle le quotidien populaire, Komsomolskaïa Pravda, extrêmement rare et toujours la confirmation que quelque chose d’exceptionnel va se produire. “La dernière fois, cela a été le cas avec la reconnaissance des républiques du Donbass, en 2022, qui a été le prélude à l’opération militaire spéciale en Ukraine”, poursuit le journal.
Cette fois, selon le résumé
Normalement, le contenu des discussions lors des réunions du Conseil de sécurité russe reste confidentiel – surtout lorsque le sujet concerne la dissuasion nucléaire, comme l’a précisé le porte-parole présidentiel, Dmitri Peskov, dans la matinée du 25 septembre. Interrogé par le quotidien Kommersant, il n’a pas souhaité donner plus de détails. Mais, aux yeux des médias russes, plusieurs signes annonçaient déjà que la session de mercredi du Conseil de sécurité n’allait pas être comme les autres. Tout d’abord, elle allait se tenir « en personne », au Kremlin, et non par visioconférence comme c’est de plus en plus souvent le cas, et ensuite, Vladimir Poutine lui-même allait prendre la parole le premier.
Finalement, cette réunion allait être retransmise en direct par la télévision d’État, ce qui, comme le rappelle le quotidien populaire, Komsomolskaïa Pravda, extrêmement rare et toujours la confirmation que quelque chose d’exceptionnel va se produire. “La dernière fois, cela a été le cas avec la reconnaissance des républiques du Donbass, en 2022, qui a été le prélude à l’opération militaire spéciale en Ukraine”, poursuit le journal.
Cette fois, selon le résumé