Le skipper italien a franchi la ligne d’arrivée ce vendredi à 5h47’55” (heure française) après 11 jours 16 heures 17 minutes et 55” de course.
Déjà vainqueur de la Transat Jacques Vabre – Normandie Le Havre l’automne dernier, Ambrogio Beccaria (Alla Grande – Pirelli) remporte un nouveau succès prestigieux en course au large. La Transalpine a remporté la Transat CIC ce vendredi en franchissant la ligne d’arrivée à New York à 5h47’55” (heure française) après 11 jours 16 heures 17 minutes et 55” de course.
« Ce n’est pas souvent qu’on gagne deux transatlantiques d’affilée en six mois. Et c’est la première course en solitaire que je gagne avec ce bateau. C’est très, très important pour moi. Et c’est l’une des meilleures courses que j’ai faites. Il y a souvent de la souffrance et de la douleur. Cette fois, j’étais très conscient de ce que je faisais et tout s’est très bien passé. Il y a des moments très durs, mais au final, je n’ai pas trouvé ça si difficile dans l’ensemble. Les conditions étaient agréables dans le sens où nous nous étions préparés au pire. Pour moi, la Route du Rhum – Destination Guadeloupe était plus difficile, mais la Transat CIC était intense »» a commenté le skipper à son arrivée.
Le skipper italien a franchi la ligne d’arrivée ce vendredi à 5h47’55” (heure française) après 11 jours 16 heures 17 minutes et 55” de course.
Déjà vainqueur de la Transat Jacques Vabre – Normandie Le Havre l’automne dernier, Ambrogio Beccaria (Alla Grande – Pirelli) remporte un nouveau succès prestigieux en course au large. La Transalpine a remporté la Transat CIC ce vendredi en franchissant la ligne d’arrivée à New York à 5h47’55” (heure française) après 11 jours 16 heures 17 minutes et 55” de course.
« Ce n’est pas souvent qu’on gagne deux transatlantiques d’affilée en six mois. Et c’est la première course en solitaire que je gagne avec ce bateau. C’est très, très important pour moi. Et c’est l’une des meilleures courses que j’ai faites. Il y a souvent de la souffrance et de la douleur. Cette fois, j’étais très conscient de ce que je faisais et tout s’est très bien passé. Il y a des moments très durs, mais au final, je n’ai pas trouvé ça si difficile dans l’ensemble. Les conditions étaient agréables dans le sens où nous nous étions préparés au pire. Pour moi, la Route du Rhum – Destination Guadeloupe était plus difficile, mais la Transat CIC était intense »» a commenté le skipper à son arrivée.