Le spécialiste américain du coworking ne « ferme pas en France » mais poursuit une restructuration qui l’obligera à se séparer de ses « sites non retables ». Tous les travaux sont sauvegardés.
Le spécialiste américain du bureau partagé WeWork, en pleine restructuration, va fermer huit de ses vingt sites en France, a annoncé vendredi le cabinet d’avocats August Debouzy, partie aux négociations avec ses créanciers. “Tous les emplois ont été sauvegardés”a assuré à l’AFP Me Guillaume Aubatier, associé au sein du cabinet d’avocats d’affaires.
En grande difficulté depuis plusieurs années, le géant américain du coworking a entamé un processus de restructuration à l’échelle mondiale, auquel la France, son troisième marché derrière les Etats-Unis et le Royaume-Uni, n’a pas échappé. Le site de La Défense, seul site français du groupe situé en dehors de Paris, a déjà fermé ses portes fin 2023.
« L’idée est de fermer les sites non rentables et d’augmenter la rentabilité de ceux qui le sont grâce à un double effet : une réduction des coûts de structure et une augmentation du taux d’occupation des sites qui resteront ouverts.a expliqué Me Aubatier. « Certains sites étaient très proches les uns des autres et se cannibalisaient un peu »a souligné l’avocat.
Les sites historiques de WeWork, comme celui des Champs-Élysées ou celui de la rue La Fayette, dans le 9e arrondissement, restent ouverts, a-t-il précisé. « Contrairement aux rumeurs, WeWork ne ferme pas en France »a insisté Guillaume Aubatier. “Bien au contraire, l’idée est justement de re-stabiliser l’activité et certainement d’ici 18 à 24 mois d’en élargir à nouveau le périmètre en France.”
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