Pour limiter l’empreinte écologique des Jeux Olympiques de Paris 2024, les organisateurs ont décidé de réduire au maximum la construction d’infrastructures dédiées. Ils se targuent de pouvoir compter sur 95 % d’infrastructures déjà existantes ou temporaires. Le plus gros chantier reste celui du village olympique, 58 hectares situés en grande partie au sud de la commune de Saint-Denis. Un territoire jusqu’alors isolé et délaissé, qui voit son urbanisme se transformer.
Pour limiter l’empreinte écologique des Jeux Olympiques de Paris 2024, les organisateurs ont décidé de réduire au maximum la construction d’infrastructures dédiées. Ils se targuent de pouvoir compter sur 95 % d’infrastructures déjà existantes ou temporaires. Le plus gros chantier reste celui du village olympique, 58 hectares situés en grande partie au sud de la commune de Saint-Denis. Un territoire jusqu’alors isolé et délaissé, qui voit son urbanisme se transformer.